1. Ombre lointaine


    Datte: 26/10/2024, Catégories: f, fh, fbi, fplusag, couple, nympho, poilu(e)s, bizarre, telnet, amour, miroir, odeurs, Masturbation fgode, fdanus, hdanus, fouetfesse, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... plaisirs solitaires devant le grand miroir. Lui regarde sa femme se dévêtir et se masturber, sans rien dire. Il se contente de sourire, assis dans un fauteuil en sirotant un whisky écossais noyé dans de la glace. Elle achète sur Internet des jouets coquins, toute une variété, vibrants ou non, pénétrants ou bien à usage clitoridien, avec livraison prioritaire. Notamment, elle dispose d’un godemiché de silicone rose, long et épais, muni d’une ventouse pour le coller au miroir. Elle le suce jusqu’au fond de sa gorge, jusqu’à la nausée, avant de l’engloutir dans sa petite rosette, à quatre pattes, la tête baissée afin d’admirer son reflet dans cette position, entre ses cuisses écartées. Elle prend le grand vibromasseur, le plaque à pleine puissance contre son clitoris, et manifeste sa jouissance par de sonores feulements de chatte en chaleur. William ne peut rester de marbre devant tant d’indécence. Il pose son verre et s’avance. Aline défait rapidement la ceinture, descend la braguette. Le pantalon et le caleçon tombent aux chevilles. Il présente sa verge tendue devant la bouche de son aimée qui engloutit ce présent sur toute la longueur, tout en enfonçant son majeur dans l’anus de l’homme afin de lui masser la prostate, ce qui provoque une abondante éjaculation qu’elle avale entièrement. William contemple dans le miroir l’image de sa femme toujours sodomisée par le godemichet. La ventouse est suffisamment souple pour glisser le long de la surface de verre sans se décoller. ...
    ... Ainsi Aline parvient à se redresser sur ses jambes sans déculer son jouet qui la fouille et invite son mari, à nouveau bandant, car elle le branle de ses mains, à visiter son vagin sous le buisson ruisselant. Il la saisit par les cuisses pour la porter. Elle est prise en sandwich entre le miroir et l’homme qui appuie sur elle de toute ses forces, comme pour pousser son épouse à l’intérieur d’un monde de symétrie mystérieuse. Ils s’embrassent à pleine bouche. Elle ferme les yeux, s’imaginant happée sans retour à travers la surface.
    
    L’été se fait torride. Le couple renonce à partir en vacances. William finit par se demander si l’amant de sa femme n’est pas le miroir devant laquelle Aline se plaît tant à s’admirer nue, des heures durant. Ils ne font plus l’amour dans leur lit, mais dans le salon, et leurs étreintes sont de plus en plus fréquentes, jusqu’à ne plus rien faire d’autre. Elle lui propose d’inviter d’autres hommes, dont son meilleur ami Bob, pour une partie fine dont elle serait la seule femme. William refuse, car il n’est pas attiré par le candaulisme. Il est maintenant obligé de prendre des petites pilules bleues afin de rester en mesure de satisfaire l’appétit sexuel démentiel de son épouse.
    
    Un événement bizarre inquiète encore plus William. Un matin très tôt, avant que la chaleur arrive, il se lève alors que sa femme dort encore, afin d’aller courir dans les bois alentour. Pour éviter qu’elle s’inquiète de sa disparition, il veut lui laisser un message bien ...
«12...456...9»