1. Ombre lointaine


    Datte: 26/10/2024, Catégories: f, fh, fbi, fplusag, couple, nympho, poilu(e)s, bizarre, telnet, amour, miroir, odeurs, Masturbation fgode, fdanus, hdanus, fouetfesse, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... rester éveillée plus longtemps.
    
    Les cartes ayant été défavorables ce soir-là, William rentre plus tôt qu’à l’accoutumée et surprend son épouse dans une posture de lubricité solitaire quelque peu gênante. Bien qu’étonné, il lui sourit et ne lui adresse aucun reproche. Il abaisse sa braguette, sort son pénis déjà dur et, pour la première fois de leur vie de couple, la saisit par les hanches et la pénètre en levrette, puisqu’elle lui présente sa croupe – jusque-là, par manque d’imagination, ils n’ont jamais pratiqué d’autres positions que celle missionnaire. Penchée en avant, Aline maintient son visage tout contre le miroir sur lequel elle s’appuie et au travers duquel l’homme et la femme s’observent dans l’étreinte, sans dire un mot. Les seins qui dodelinent à gauche et à droite fascinent William, même s’ils ne sont pas très volumineux. Le gland appuie sur le point G pendant qu’elle se caresse elle-même le clitoris, comme elle l’a vu faire sur l’écran de son ordinateur. Celui-ci diffuse toujours la vidéo de flagellation, avec le volume sonore au maximum. Perversion maximum, accompagnée du rire sadique de la tortionnaire et des pleurs de la jolie victime. L’orgasme d’Aline survient avant même de laisser le temps à son partenaire d’éjaculer. Elle se contracte et crie et ce cri est si puissant et si aigu que William se demande comment cela est humainement possible. De la buée recouvre une partie du miroir. La machine à images se tait avant la fin de l’histoire, batterie ...
    ... épuisée. Aline de l’est pas, stimulée sans limites par une énergie inconnue.
    
    Haletante, peinant à reprendre son souffle, elle demande à son époux de la sodomiser. Elle l’exige. Elle le supplie. Elle pleure. En lui parlant, elle ne le regarde pas directement, mais à travers le miroir, comme si celui-ci devenait un intermédiaire indispensable à leur relation. Cela non plus, ils ne l’ont jamais fait ensemble. Ils n’y pensaient même pas. William ne demande pas à sa femme d’ordinaire si prude pourquoi ce désir soudain si intense, ni d’où lui vient le vocabulaire si fleuri avec lequel elle se met à commenter leur ébat. Il ne dit rien et cède à toutes les demandes, concentré à ne pas perdre son érection. Vierge analement, elle est étroite et c’est avec difficulté qu’il parvient à enfoncer complètement son membre dans la gaine rectale. Aline souffre, mais persévère. Elle se sent farcie comme une oie cuisinée, prête à entrer au four. À force de pilonner, le gland touche une zone érogène à l’intérieur du rectum, ce qui provoque un râle et un giclement. Les seins sont collés sur la surface de verre froid qu’elle se met à lécher, comme un baiser à la française dispensé à elle-même, langue contre langue. Elle demande en murmurant : « je te plais, comme ça ? » Ce à quoi William répond simplement « oui », sans comprendre que sa femme adressait cette question à sa propre image, voire au miroir lui-même.
    
    Les jours suivants, Aline n’a plus besoin de se cacher de son mari afin se livrer à des ...
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