Littérature bafouée
Datte: 24/10/2024,
Catégories:
f,
h,
fh,
ff,
fbi,
Collègues / Travail
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
totalsexe,
initiat,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... mot. D’humeur guillerette, il restait néanmoins le grand frustré du spectacle. Il savait Pénélope trop inexpérimentée, et trop bousculée par tout ce qu’elle vivait, pour se rendre compte de sa grande frustration. Mais Annabelle paraissait l’avoir oublié dans la bagarre. N’avait-il pas été parfait dans son rôle ? Il méritait certes mieux que ce désintérêt. Une petite pause avait fait son office. Pénélope avait fumé une cigarette en buvant de l’eau fraîche, venue de la dernière acquisition du libraire : un réfrigérateur flambant neuf. Puis, elle s’était détendue sous les compliments conjugués d’Annabelle et d’Octave. Elle avait été parfaite d’excitation, apportée à leurs sens coquins. Elle n’avait pas à rougir de sa décision… le plaisir était rare dans la vie de tous les jours, et Pénélope était devenue gourmande de plaisir.
— Il ne faut rien exagérer… Je ne suis pas si gourmande !
La jolie blonde, tête penchée, avait laissé filer un sourire timide.
— Ah oui ?
Madame Lajoie se pencha lentement vers sa jolie maîtresse blonde et son doigt pesa sur la fente toujours mouillée de Pénélope
— Anna… m’mm…
L’index de la belle brune, pesant sur le clitoris de la libraire, l’avait fait gémir.
— Gourmande, oui… Et coquine… Et cochonne ! Tu seras bientôt aussi salope que moi, ma chérie… Maintenant… Tu ne dois pas te montrer égoïste. Tu vas me manger toute crue ! Ensuite, tu suceras Octave. Il est temps de le remercier pour sa patience, non ?
— Je… Oui, ...
... Annabelle…
Tout d’abord, Madame Lajoie ondula doucement sous la bouche de la libraire en l’appelant gentiment « chérie ». Puis, elle s’activa, ses hanches dansant une nouvelle gigue, soupirant tout en traitant Pénélope de petite gourmande. Enfin, comme soudainement possédée par une force démoniaque, Annabelle se frotta au visage de la jolie blonde… collant sa chatte au joli nez de sa maîtresse, et baignant le visage contre elle d’une mouille claire, lâchant des mots crus colorés. Puis, Annabelle Lajoie jouit en se collant aux lèvres qui la mangeaient, laissant filer des mots à faire rougir Madame Tancrène. Octave Groseille, lui, en était presque à songer que sa belle putain aurait offusqué tout un équipage de ruffians en rut.
— Oh oui… Bouffe-moi, salope ! Bouffe-moi toute… Oh putain ! Je vais t’inonder, cochonne… Ooh… Lèche-moi la chatte, ma chérie… Aaah…
Pénélope avait vécu un petit instant de doute quand la large paluche d’Octave avait pesé sur ses cheveux. Moby Dick lui prenait totalement la bouche et elle ne pourrait jamais en avaler plus. Le monstre palpitait sur sa langue, et lèvres distendues, la douce Pénélope ne pouvait en faire plus. Octave, certes, maître d’un fier baleinier, était bien incapable de dompter son monstre marin. Il apparaissait donc évident que, toute jeune harponneuse, Pénélope ne pourrait pas se montrer plus efficace que son capitaine. Quand Moby Dick souffla, la jeune femme comprit le pourquoi de cette main sur ses cheveux. Puis elle ne comprit plus ...