Littérature bafouée - Histoires de Sexe

Littérature bafouée

... Sa petite chatte ouverte coulait maintenant sur le bois de la chaise. Les doigts de Madame Lajoie effleurèrent la fente béante et ramenèrent une coulée de cyprine sur le buisson doré de la libraire. Là, Annabelle resta un petit moment à étaler la mouille recueillie dans les poils dorés et brillants. Cela avait été fait comme un geste banal.

— Tu commenceras par son pubis, Octave. Je sais que tu adores balader ta langue dans mes poils.
— Anna… m’mm… non…
— Chut, ma chérie ! Pour en revenir à notre nuit… Oh, Octave, tu me connais ! J’étais dans un drôle d’état, tu sais. Pénélope me rendait folle. Une vraie jouisseuse ! Curieuse et ingénue, mais terriblement salope !
— S’il te plaît… Anna…
— Tais-toi donc un peu, Pénélope ! Tu adores ça ! Tu vas jouir devant nous, et tu baigneras encore dans ton jus quand mon Octave te bouffera la chatte.
— Tu vas me rendre dingue, ma belle putain ! Vous allez me rendre fou, toutes les deux…
— Je me suis doigté le cul, Octave. Je me suis enculée du doigt sous le nez de notre petite Pénélope, et quand je lui ai donné mon doigt, cette jolie salope l’a sucé…
— M’mm… m’mm… Annab… Non. Pas ça…
— Ensuite… Je l’ai enculée, elle aussi, tout en la fessant de plus belle… Et cette vicieuse a sucé mon doigt…
— Oooh… Oooh…
— Et Pénélope a encore joui ! Mon majeur dans sa bouche… Comme elle jouit là ! Tu vois que tu aimes être un peu malmenée, ma chérie…

Pénélope avait joui, assise, sa petite chatte simplement ouverte par les doigts ...

... d’Annabelle qui se contentaient d’écarter les lèvres de son sexe. Un acte qui avait terriblement excité Octave d’abord, et la belle brune ensuite. Une jouissance cérébrale que seule Pénélope leur avait montrée jusqu’ici.

— Tu peux venir déguster, Madame Tancrène Octave. Elle est toute à toi !

Sans laisser le moindre répit à sa proie, Madame Lajoie ordonnait à son amant de venir manger sa libraire si coquine.

— Tu la fais jouir encore, Octave…

Octave Groseille avait tendrement cajolé, gentiment sucé, longuement aspiré tout ce que ses lèvres et sa langue trouvaient sous leurs caresses. Il avait poussé un petit soupir de contentement, et certainement de fierté, quand Pénélope lui avait arrosé le visage d’une douce salve salée. Une petite bordée, certes, mais une volée bien ajustée qui avait fait mouche. En bon marin, Octave savait reconnaître un coup de semonce. Là, la jolie blonde venait de lui démontrer qu’elle s’était défendue avec courage, mais qu’elle était proche d’abandonner son navire. Il ne lui restait qu’à bien mené son abordage, et Pénélope, cette délicate goélette, serait vaincue.

— Aaah… Octa… aaah…
— N’est-elle pas adorable, notre petite Pénélope ?

Un large sourire aux lèvres, Annabelle Lajoie titilla son clitoris exacerbé et soupira longuement.

Pénélope et Annabelle s’étaient assises sur des chaises faisant face au large fauteuil du libraire. Nues et en sueur, elles se laissaient aller à reposer leurs sens bousculés jusqu’ici. Octave, lui, ne pipait ...