Littérature bafouée
Datte: 24/10/2024,
Catégories:
f,
h,
fh,
ff,
fbi,
Collègues / Travail
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
totalsexe,
initiat,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... fesses sur le bois de son siège, déglutit quand sa compagne lui écarta les genoux en un geste presque brutal. Pénélope, visage et corps en sueur, lâcha un profond soupir, et la belle brune passa une longue main sur son ventre.
— Tu étais ?
Une nouvelle fois, Pénélope avala sa salive avec quelque difficulté, son regard accroché à celui de Madame Lajoie.
— J’étais proche de jouir…
— Oh ! C’est excitant ! Aussi proche que tu l’es maintenant ?
— Non… Plus…
— Regarde cette jolie petite chatte, Octave ! On en mangerait, non ?
Sa large main dans son épaisse tignasse châtaine, ses yeux de chat rivés aux deux femmes installées à un pas à peine, le libraire se redressa dans son fauteuil.
— Ne me tente pas, démone ! Je connais tes conditions diaboliques… Je ne suis qu’un objet ! Et un objet n’a pas d’âme…
— Octave, allons ! Tu as été très sage jusqu’ici… Il a été sage, non ? N’est-ce pas, ma chérie ?
— Oui.
— Ah ! Tu vois… Depuis le temps que tu en as envie du fruit de ta Pénélope, tu vas pouvoir le déguster…
— M’aah…
Pénélope Tancrène, le regard sur la fureur contenue de Moby Dick, n’avait rien vu venir. Elle n’avait pu contenir son gémissement, quand les doigts d’Annabelle avaient ouvert son sexe sans le moindre égard.
— Regarde, Octave. Elle mouille, cette petite salope… mais pas encore assez !
Si maintenant, l’ancien marin savait que ces deux-là avaient couché ensemble, il s’étonna de l’insulte employée par sa belle putain. Pénélope Tancrène n’était ...
... pas du genre à se laisser traiter de salope sans réagir. Subitement tétanisé, le brave Octave se vit comme un naufragé sur son île, regardant d’un air désespéré un bateau s’éloigner au loin. Il allait tout perdre : ses rêves et ses illusions.
— Écarte tes cuisses, ma chérie… Je veux que tu jouisses tout en regardant ton Moby Dick !
Madame Tancrène subit une autre suée et ouvrit grand la bouche, comme si elle s’étouffait brusquement.
— Ah, Octave… Si tu savais comme elle est vicieuse, ta petite Pénélope… Tu sais ce qu’elle adore ?
— Non, Annabelle… Tu vas me le dire.
Octave Groseille, proche de voir la partie jouée et perdue, n’avait pourtant pas pu s’empêcher de répondre. Annabelle Lajoie s’était légèrement déportée sur le côté. Une nouvelle posture, afin que son amant puisse se repaître du charmant spectacle de sa libraire subitement affolée, comme brûlante de honte et d’excitation. Une main sur sa toison de jais, la belle brune titillait son clitoris tout en observant la malheureuse Pénélope.
— Dans nos derniers ébats, emportée par mon excitation, j’ai fessé cette petite cochonne. Et crois-moi, Octave, notre Pénélope a joui très vite. N’est-ce pas, ma chérie ?
Le regard gris de Madame Lajoie défia l’azur des yeux de la libraire, et elle leva sa longue main pour pincer un téton dressé.
— Aïe… Oui…
— Oui quoi, ma chérie ?
— J’ai joui… Annabelle… s’il te plaît…
Pénélope, certainement inconsciemment, avait plus encore écarté ses longues jambes fuselées. ...