« Josy » : le chantage d’un gros pervers. Épisode 14
Datte: 18/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... revenaient en tête.
Bien entendu, Jean-Lou qui semblait ne plus vouloir coucher avec moi mais aussi Marius qui avait insisté sur le fait que tout n’était pas fini entre nous, que j’avais besoin de lui et qu’il désirait me protéger. Mais de quoi ? Il avait également parlé de ma prostitution, savait-il quelque chose, il me faisait peur. Cependant, ce qui me chiffonnait le plus, c’était surtout les propos menaçants de M. Jean. Sur le moment, prise par mon occupation et mon énervement, je n’avais pas fait très attention à ses dires, néanmoins, lui aussi semblait savoir des choses, pourquoi agissait-il ainsi.
Enfin, dès le lendemain, le jour de fermeture du restaurant, tout fut oublié lorsqu’après avoir téléphoné à Jean-Lou, celui-ci m’invita à prendre le déjeuner avec lui. Dans l’après-midi, j’avais fait mes courses et m’étais acquittée de mes obligations et nous nous étions retrouvés à la maison où nous avions fait l’amour comme deux fous. Pendant tout l’été, il s’était privé de congé afin de venir m’aider à la guinguette. Sans réaliser des miracles, après l’inauguration, les couples étaient venus de plus en plus, je commençais à fidéliser la clientèle.
Entre juillet et août, il n’y avait pas moins de cent personnes chaque soir et le double les samedis et les dimanches après-midi, sans compter les repas pris au restaurant. Avec mes amies Françoise et Gislaine mais aussi ma mère, Jean-Lou et Monique la serveuse, nous arrivions à nous en sortir sans grandes difficultés. ...
... Ce ne fut qu’à partir de la rentrée en septembre 74 que le restaurant qui fonctionnait déjà bien les midis, commença vraiment à se remplir les week-end.
Le samedi soir et le dimanche après-midi, avec les 200 personnes qui venaient pour danser en consommant des boissons à « La Grange à Josy » et la clientèle du restaurant « Le Paradis », je fus vite victime de ce succès qui s’annonçait. En cuisine, je dus embaucher comme cuisinier, Simon le petit copain de Gislaine qui avait fini son apprentissage mais également plusieurs serveuses en extras. Jusqu’à fin octobre, tous nos week-end sous la grange furent une réussite. Pour la saison hivernale, la guinguette fut réintégrée à l’intérieur du restaurant.
En ce qui concernait ma vie sentimentale, ce n’était pas la panacée, Jean-Lou campait sur ses positions et ne me faisait l’amour qu’une à deux fois par semaine. Principalement les dimanches soir et de temps à autre les jeudis, il ne désirait toujours pas que je m’attache à lui. Malgré cela, j’étais toujours aussi folle de mon jeune avocat, mon amour pour lui, ne faiblissait pas pour autant. Pourtant, il m’arrivait souvent d’être en manque de sexe et lorsque mes pulsions me taraudaient les entrailles, je devais y remédier.
Pour cela, j’allais rendre visite à Marius qui savait comment me prendre pour obtenir ce que j’étais venue chercher : Une sodomie sauvage. C’était toujours aussi court et torride mais je partais après avoir pris un bel orgasme. Il y avait également Armand ...