COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme (2/3)
Datte: 18/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... nous entend, elle sera offusquée.
Je tiens mon avantage, j’ai sa bite bien en main, j’approche ma bouche, il a dû aimer la première fois sans se l’avouer, il pourrait se sauver, mais il me laisse faire.
Je m’attends à recevoir son foutre sur mes amygdales, mais est-ce la présence non loin de notre chambre de sa grand-mère, il bande sans décharger.
Rapidement je veux garder mon avantage et je le libère pour mieux l’enfourcher, me mettant immédiatement à jouir et à brailler tous l’amour que j’ai pour l’homme de ma vie.
Pour la première fois, j’ai réellement mon mari dans mon lit et c’est un feu d’artifice lorsque nous explosons simultanément.
Albert dort, je passe une tenue légère et je rejoins sa grand-mère pour dîner.
Je fais la connaissance de Simone, sa femme de service qui s’occupe d’elle avant de la coucher jusqu’au matin où elle reviendra la lever et l’aider à la mettre dans sa chaise roulante.
Le matin elle fait les courses et prépare à manger, je me retrouve à table avec elle.
• C’est beau la jeunesse, j’étais assoupi lorsque j’ai entendu des cris, je suis heureuse pour mon petit-fils et toi ma chérie de vous entendre exprimer votre plaisir m’a rappelé mes envolées avec les hommes de ma vie.
• Grand-mère Agathe que me dites-vous là, les hommes de votre vie !
• Tu es jeune et je sens que je peux avoir confiance en toi, tu es un peu comme moi dans ma propre jeunesse d’après la guerre, en 1949.
J’étais orpheline à la fin de la guerre ...
... dans mon village près en Normandie.
Ma mère était morte peu de temps après ma naissance et mon père a rejoint la résistance.
Il est mort le dernier jour du conflit tué par un Américain l’ayant pris pour un Allemand alors qu’il était sur son vélo à porter une lettre donnant les positions des troupes ennemies.
J’ai connu mon premier homme un Irlandais dans ces moments-là et, en 1949, le travail étant rare, j’ai rejoint Paris.
C’était pire pour le travail sans compter le logement et je me suis retrouvée à Pigalle lieu de la nuit ayant survécu aux Allemands qui aimaient s’encanailler.
Les petites femmes de Pigalle comme ils aimaient à le dire.
J’ai trouvé un travail en faisant du strip-tease dans une boîte louche.
• Vous avez connu de nombreux hommes à ce moment là pour vivre !
• Pour survivre, si tu vas dans le fond de mon armoire à ma mort, je voudrais que tu détruises la carte que la police de l’époque nous donnait lorsque nous nous prostituions.
J’ai été prise dans une rafle et j’ai été encarté, je devrais la détruire, mais c’est un pan de ma vie cachée que je tiens à conserver.
• Je vous promets de la détruire et votre famille vous considérera toujours comme une femme pure comme me l’a dit Albert tout à l’heure dans notre chambre.
Ça marche autant que ça de se prostituer, vu le domaine que vous avez !
• Les domaines et les biens que je possède, tous les biens que ma famille a, sont à moi.
J’en connais une qui attend ma mort pour tout ce ...