1. COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme (2/3)


    Datte: 18/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Mon nom de jeune fille, Marie de... ou de femme mariée Marie de ... ...
    
    Moment où je me suis retrouvée seule face à Albert de ...
    
    Marie de ... mariée à Albert de ... à ce jour, je suis donc Marie ... ... mais comme mon époux occupe de hautes fonctions éligibles, je préfère taire mon nom de jeune fille et de femme mariée.
    
    Ce sont nos parents qui ont décidé de notre union comme cela se fait régulièrement chez cette classe bourgeoise afin de conserver leurs suprématies sur ce que nos parents appellent entre eux « le petit peuple. »
    
    Le patrimoine amassé depuis des années doit rester entre eux et en nous mariant, ils restent les maîtres de notre pays de plus en plus riche en fusionnant leurs biens.
    
    Albert a eu une éducation très stricte et comme moi aussi, nous aurions pu rester dans l’ignorance de la vraie vie et surtout celle qui touche au sexe.
    
    Par chance du haut de mes dix-neuf ans, nous décidons avec mon mari que j’achèterais un portable afin de pouvoir nous joindre à tout moment pour rester l’un près de l’autre.
    
    Ce portable a toutes les fonctions modernes me faisant découvrir que la vie et surtout celle de mon sexe est loin de ce qu’Albert m’a fait découvrir.
    
    En un mot « rien », car lors de notre nuit de noce, essayant une première fois, est-ce la peur ou la méconnaissance, il est resté flasque c’est du moins ce que j’ai senti lorsque cette chose molle est venue taper à mon petit capital.
    
    Dans le noir, dans mon sommeil, j’ai senti mon mari ...
    ... bouger, par la suite je devais comprendre qu’il se masturbait afin d’arriver à bander et venir sur moi.
    
    J’ai refait la grenouille écartant mes jambes comme maman me l’avait suggéré me faisant mal, mais déchargeant sa semence en moi.
    
    Au matin mon mari était parti et j’ai eu peur d’avoir perdu notre bébé, une tache de sang maculant nos draps.
    
    Dans ces films, j’ai appris à dix-neuf ans ce que d’autres découvrent dès leurs onze ou douze ans sur la sexualité.
    
    La sexualité et l’usage de cette partie de mon corps qui devrait s’envoler vers les sommets de mon plaisir alors que je restais sur le bord du chemin.
    
    Je mets de côté les films sur le fantasme de certaines femmes se léchant entre elles, d’autres voulant à tout prix être défoncé par de grosses bites noires.
    
    Je suis prête à évoluer pour le plaisir de mon mari et surtout le mien, mais je tiens à respecter mon vœu de fidélité à mon époux devant le maire et surtout le curé.
    
    J’ai un mari éjaculateur précoce.
    
    En me faisant sucer en même temps que je le masturbe, je me penche pour mettre son gland dans ma bouche.
    
    Je l’enjambe et je place ma petite fente sur sa bouche.
    
    Je l’ai vu faire par de nombreuses femmes, même si les titres de ces œuvres étaient loin de valoir, Victor Hugo ou Balzac.
    
    « Vieille salope découvre le secret de la bite de son mari. »
    
    « Jeanne, pucelle et rapidement femme aimante ».
    
    « Femme aimante, un peu et même beaucoup comme moi, je veux réussir mon couple et éviter d’être comme ma ...
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