COLLECTION BOURGEOISE. 1 - Le charme de la bourgeoisie - Début de ma vie de femme (2/3)
Datte: 18/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... tante ou ma mère des coincés des choses de la vie.
Mais je me répète dans le respect de mes vœux de mariage d’être une femme fidèle.
Albert comprend-il la nécessiter de faire évoluer notre couple, il suit mon conseil et alors que je mets son gland dans ma bouche, il me lèche le clitoris.
Ça marche pour moi, mais un peu moins pour lui, car un flot de liquide poisseux envahit ma bouche.
Je sentais que j’allais jouir comme je l’avais fait l’après-midi pour la première fois en me doigtant de longues minutes.
Mais mon élan a été freiné par ce que j’apprendrais le lendemain être son sperme.
• C’est malin, qu’as-tu gagné, crois-tu que c’est ainsi que nous arriverons à avoir des enfants.
Samedi nous partons chez grand-mère Agathe, j’espère que tu auras un autre comportement avec elle.
Tu sais, elle est restée vieille France et serait bien en peine de comprendre tes nouvelles lubies.
Avoir essayé avoir raté, mais je comptais bien réussir la prochaine fois où nous serons seuls ensemble.
Une nouvelle fois, mon mari étant éjaculateur précoce, j’avais foiré ma démonstration de nouveaux jeux amoureux, mon mari revenait à son obsession de vouloir avoir un enfant.
Chaque jour, il faut savoir remettre l’ouvrage sur son métier, mais lorsque nous partons chez sa grand-mère, nous en sommes toujours au même point.
Grand-mère Agathe a dû être une très belle femme, mais une opération ayant mal tourné, elle se retrouve dans un fauteuil regardant de loin le parc ...
... qui entoure son joli manoir.
Sans être vénale, savoir que mon mari est l’héritier de ce petit bijou, je suis enchantée de savoir qu’à sa disparition je pourrais venir vivre ici avec mes enfants.
Attention, lorsque je parle de sa mort, il va de soi que je veux que ce soi le plus tard possible, de toute façon à la manière dont mon mari me fait l’amour, je sois loin d’avoir un enfant, alors plusieurs !
J’offre le grand plateau de chocolat « fabuleux » de chez Lenôtre, « fabuleux » est son nom, « fabuleux » même son prix.
• Des Lenôtre, vous me gâtez, Albert tu t’es souvenu que c’était ceux que je préférais lorsque j’habitais encore Paris.
• Agathe, vous nous excusez, le voyage m’a fatigué et demain je pars chasser avec mes amis d’enfance, je veux être en forme.
Les présentations étant faite, Albert m’amène vers la chambre qu’il occupe lorsqu’il vient voir Agathe.
Il vouvoie ses parents, il vouvoie sa grand-mère, je suis un peu choqué, mais je le garde pour moi, il m’a dit de bien me tenir.
Albert va dans la salle de bain, je me dénude et je me couche sur le lit.
Je manque d’éclater de rire, à 17 heures, il a passé un pyjama veste et pantalon.
Il vient s’allonger, je me coule près de lui et ma main trouve l’ouverture dans le pantalon pour atteindre sa verge.
• Que vous ai-je dit, d’éviter de me provoquer lorsque nous serons chez ma grand-mère !
Cette vieille dame a eu une vie aussi pure, à la limite d’être une none, que celle de ma mère, si elle ...