1. Alicia et son papa (11)


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... pas encore habituée à porter les précédents, alors je savais qu’il me faudrait un moment pour accepter ceux-là. Contre toute attente, sur la route je réussis à pédaler normalement, sans oser m’asseoir sur la selle toutefois. Malgré mes craintes, je pus même marcher sans trop paraître empruntée. Sans passer voir Marine, j’allai toquer doucement à la porte de monsieur Rodriguez qui me cria d’entrer.
    
    Il discutait avec un homme ventripotent habillé en costard-cravate. J’adressai un timide bonjour et m’apprêtai à ressortir, quand le boss lança :
    
    — Eh bien, tu attends quoi ? Déshabille-toi ! Monsieur Kleinewurst est un de nos gros fournisseurs, c’est un homme important.
    
    — Ah… Oui Monsieur.
    
    Et voilà ! Comment faire comprendre à un inconnu que la jeune employée qui vient d’arriver n’est qu’une pute payée pour s’exhiber et plus si affinité. Parce que c’est évident que dans cinq minutes je vais me retrouver à sucer la bite du gros ! Berk berk berk !
    
    La suite me donna raison ; le gros type ne se fit pas prier pour ouvrir son pantalon et en sortir une chose rose d’aspect maladif, genre saucisse de Strasbourg pas fraîche. Je considérai un instant la limace peu ...
    ... ragoutante avant de me décider. Comme d’habitude, je choisis la soumission et m’agenouillai. Il ne me fallut que trois minutes pour obtenir quelques misérables giclées de semence, agrémentées de couinements porcins du plus bel effet.
    
    Je ne pus m’empêcher de pouffer en me redressant, hélas. Ce qui provoqua l’ire du boss. Il n’en fallait pas beaucoup pour l’énerver, celui-là.
    
    — Tu nous trouves drôles, monsieur et moi ? fulmina-t-il.
    
    — Non, je… Pardon Monsieur.
    
    — Va trouver Babacar et Hamid, ils sont dans la salle de repos. Demande-leur de te donner une bonne raclée. Prends cette clé, dis-leur qu’ils peuvent tester tes trous jusqu’à midi. Ensuite, tu iras travailler.
    
    — Oui Monsieur. Je peux me rhabiller ?
    
    — Non, tu restes comme ça. Tu n’as pas à avoir de pudeur, tu n’es qu’une pute ici. En plus, tu as déjà une culotte, de quoi te plains-tu ? Allez, prends tes frusques et tire-toi.
    
    — Bien Monsieur, répondis-je d’une voix blanche.
    
    J’allais déguster, encore une fois. Mais j’étais coincée ; je le savais,ils le savaient. Je serrai donc mes vêtements sous mon bras et sortis du bureau pieds nus, après avoir salué le deux hommes qui se désintéressaient déjà de moi. 
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