1. Alicia et son papa (11)


    Datte: 19/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Quand Babacar est arrivé, j’attendais depuis dix bonnes minutes à genoux sur le perron. Toute nue et mes vêtements fourrés dans un grand sac plastique posé à ma droite. J’attendis sans bouger qu’il me demande de me lever. Je pensais qu’il allait me dire de remettre mes vêtements de pute mais non, j’ai fait le trajet retour dans le coffre. Une fois dans le bureau vide du patron, les vigiles m’ont remis la culotte avec ses deux godes et j’ai pu enfiler ma tenue du matin. J’ai pris mon travail comme si de rien n’était, avec plus de quatre heures de retard. Ma chef était fumasse, bien sûr.
    
    À mon arrivée à la maison, papa n’était pas là. Je me déshabillai vite fait, sauf la culotte, bien sûr, je n’en avais pas la clé. Je nettoyai la cuisine de fond en comble et commençai à préparer le repas du soir quand j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Quand papa entra, j’étais déjà à quatre pattes, tête baissée.
    
    — Viens me tailler une pipe, petite salope.
    
    Pour ça, j’étais rodée : une pipe le matin, une le soir. Vite fait, je m’agenouillai et entrepris d’extraire la bite paternelle. Ensuite, devant l’énormité de l’objet, j’en gobai ce que je pus, une moitié environ, et la pompai avec vigueur tout en caressant les lourdes couilles. Je les léchai à leur tour, les pris en bouche pour les malaxer.
    
    — Ne me fais pas jouir, j’ai envie de t’enculer. Je veux voir si ton cul s’assouplit.
    
    Alors là, aucun problème. Entre ce que j’ai pris comme calibre ce matin et cette maudite culotte ...
    ... bi-godes, je pense que papa va être satisfait de sa petite pute de fille. Il va entrer comme dans du beurre ou presque. Au fait, il faut que je lui dise de changer les deux godes pour des plus gros. Déjà que j’ai du mal à supporter ceux-là, je pense que ça va pas être une partie de plaisir.
    
    Quand je sentis que la sève montait dangereusement dans la colonne de chair qui frémissait, je me reculai et attendis, aux ordres. Papa se leva sans prendre la peine de remonter son pantalon et sortit la petite clé de sa poche. Je me tournai et commençai :
    
    — Papa, Monsieur, monsieur Rodriguez veut que tu… que vous changiez les godes par des plus gros.
    
    — Déjà ? s’étonna papa. Tu viens à peine de commencer. Enfin, je vais voir. S’il le dit…
    
    Je grimaçai quand il enleva les godes : mes chairs avaient tendance à se coller au plastique et à enserrer étroitement les colonnes semi-rigides. Sans attendre d’ordre, je m’approchai du mur devant moi, me penchai légèrement pour poser ma joue contre lui. Bien cambrée, cuisses à peine disjointes, j’écartai mes fesses à deux mains pour offrir mon anus écarquillé.
    
    — Parce que tu crois que c’est toi qui décides de la position à prendre ? Je ne t’ai rien demandé, tonna papa. Mais ne bouge plus ; enlève juste les mains, ton cul est à bonne hauteur pour ma ceinture.
    
    Il asséna une bonne vingtaine de coups de ceinture sur mes fesses et mes cuisses, ne s’arrêtant que lorsque je craquai, sanglotante, incapable de tenir sur mes jambes. Je glissai au ...
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