Alicia et son papa (11)
Datte: 19/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... sol et pleurai toutes les larmes de mon corps, jusqu’à ce que papa m’enjoigne de me ressaisir.
— Tu seras punie chaque fois que tu oublieras qui commande ici. Tu n’es qu’une idiote si tu penses prendre le pouvoir. Tu as compris ?
— Oui Monsieur, je vous demande pardon. Je vous remercie pour cette punition, votre idiote de fille ne mérite pas tout ce que vous faites pour elle.
Vous croyez que j’en fais trop ? Vous avez sûrement raison. Mais papa peut se révéler très brutal et très convaincant. Je commence à avoir peur dès qu’il sort sa ceinture, il m’a appris à m’écraser comme une carpette, à accepter ses punitions qui font partie de l’éducation qu’il veut me donner.
Obéissante, je lui offris mon rectum dans la même position qu’auparavant, visage contre le mur, très cambrée et offerte. Sauf que je grimaçai en écartant mes fesses rudement marquées par la correction ; elles étaient en feu. Papa aimait me voir ainsi, les orifices entrebâillés et disponibles. D’autant plus quand la preuve de son éducation stricte était gravée dans ma chair. Il investit ma vulve suintante de trois doigts brutaux et fut satisfait de me savoir trempée et prête à le recevoir, même si je savais qu’il allait encore une fois ignorer mon vagin pour ne prendre que mon anus.
— Tu es une chienne en chaleur, Ali. Je viens de te filer une raclée et tu mouilles comme une salope. Tu trouves que c’est une bonne attitude pour une fille respectable ?
— C’est que je ne dois pas être une fille ...
... respectable, Monsieur.
— Et tu es quoi, selon toi ?
— Une dévergondée, Monsieur. Une catin qui n’est bonne qu’à se faire punir et enculer par son maître… Ah ! Aah ! Mon Dieu…
— Prends ça, dans ce cas. Tu aimes ?
— Vous êtes trop épais, Monsieur. Allez-y moins fort, s’il vous plaît. Oh , non !
— Si tu as mal, pourquoi tu tends ton cul encore plus, salope ? Tu aimes que je te défonce bien profond, non ?
— Oui Monsieur ; vous avez raison. Vous m’autorisez à jouir, cette fois ? S’il vous plaît...
— Pas question ! Tu as été trop désobéissante, tu as joui plusieurs fois aujourd’hui.
— Je sais, mais j’aimerais jouir avec vous, Monsieur.
— Non ! N’insiste pas ou je reprends ma ceinture et je te tanne les seins.
Oups, non ! Je serrai les dents et tentai de résister à la montée du plaisir. Sous les coups de boutoir plus violents les uns que les autres, mes pieds ne touchaient plus le sol ; j’étais en appui contre le mur, les hanches fermement serrées par les paluches de papa, empalée jusqu’à la garde par son formidable épieu. Je me mordis la lèvre inférieure presque jusqu’au sang pour éviter l’orgasme lorsque je sentis de longues rasades de semence jaillir dans mes entrailles. Une fois libérée, je me jetai à genoux pour nettoyer servilement la hampe souillée de mes œuvres.
Je dormis mal cette nuit, car papa avait introduit dans mes orifices les nouveaux godes plus épais que les précédents ; j’étais doublement distendue à la limite de la douleur. Je n’étais ...