Storia di famiglia
Datte: 13/10/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
diffage,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... tout ça, renouveler mon environnement. Je n’avais guère de moyens, mais elle proposa de simplement descendre ses meubles, plus modernes et plus neufs.
Alors je me suis mis en chantier et j’ai tout rénové. Entre papiers, peintures et déménagements, mes vieux meubles à monter et les siens à descendre, Roberta m’aidait de son mieux, je la trouvais adorable dans ses vieux vêtements maculés de peinture. Sa jeune vivacité était un précieux stimulant. Je me couchais tous les soirs, éreinté. Malgré cela, j’avais encore du mal à trouver le sommeil, même si je parvenais ensuite à dormir cinq à six heures d’affilée. Un soir où il faisait particulièrement chaud, ce qui n’aide pas à trouver le sommeil, j’ai fini par me lever pour aller boire un verre d’eau, pieds nus, tâchant de ne faire aucun bruit. Surprise dans le couloir, je vis un petit rai de lumière, la porte de la chambre de Carlo, occupée par Roberta, n’était pas totalement fermée. Je m’avançai doucement, pensant qu’elle était peut-être allée boire aussi, mais j’entendis de faibles gémissements. Je poussai tout doucement la porte d’un doigt, je savais qu’elle grinçait, et là… je la vis. Pas directement, mais dans le miroir de l’armoire, au pied du lit. Elle avait chaud elle aussi, parce qu’elle était nue sur le lit. Et soudain, je vis tout : ses cuisses écartées, sa main dans sa toison qui frottait son sexe, l’autre main qui pétrissait un sein en faisant rouler la pointe entre pouce et index. De temps en temps, le mouvement ...
... s’arrêtait, l’index se dressait et grattouillait l’extrémité pendant que l’autre index faisait la même chose sur le clitoris. Oh ce clitoris, dilaté, dressé, gros comme un petit champignon… Et ces seins, gros, lourds, à peine aplatis par la position couchée, avec de larges aréoles dilatées comme des macarons roses surmontés par de grosses framboises. Et elle reprit. Son majeur plongea profondément dans sa grotte et ressortit étaler ses sécrétions sur toute sa fente avec un bruit humide.
Parfois elle accélérait, parfois elle ralentissait, se tapotait et reprenait. Quelle merveille ! Quelle peau parfaitement lisse et blanche ! Il n’y avait que la plante de ses pieds qui était légèrement orangée, les orteils crispés par le plaisir. Elle respira un peu plus fort, gémit un peu plus et ses cuisses s’agitèrent de tremblements. Alors elle se retourna à genoux, dressa son cul en l’air, la joue sur l’oreiller. Sa main glissée entre ses cuisses s’agita plus fort, deux doigts bien plantés dans sa chatte béante. Elle respirait bouche ouverte comme un soufflet de forge. Le plaisir montait, et moi je bandais comme un bourricot. Je saisis mon sexe à travers mon pyjama et le serrai violemment. Alors elle se laissa tomber sur le côté, un pied sur l’autre mollet, sa main toujours active. Elle suça le majeur de l’autre main et le porta à ses fesses et… Oh oui, mamma mia, elle se l’enfonça dans le cul et le fit aller et venir à toute vitesse comme les autres jusqu’à la grande secousse qui en fit ...