1. Le retour de vacances de Lucie


    Datte: 13/10/2024, Catégories: fh, vacances, amour, odeurs, caresses, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe

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    — Thibaud, Thibaud, s’il te plaît, viens ! s’il te plaît, viens !
    
    Et bien sûr, cédant à son appel, je viens, je jouis, brusquement. J’explose dans son vagin, me vide entre ses cuisses. Elle me sent exploser, lui remplir le ventre, giclée après giclée, dans son vagin également contracté. Quelques secondes suspendues, je suis, le temps de l’orgasme, encore collé à son cul. Enfin un instant plus tard, ensemencée, satisfaite, alanguie, elle murmure :
    
    — Thib’… Thib’…
    
    Les spasmes du plaisir physique se dissipent. Je reviens à moi et l’enserre bientôt de mes bras, l’embrasse dans son dos frêle perlant. Sa sueur a dans ma bouche un goût de nostalgie. Lucie est superbe, sensuelle. Je me rhabille sommairement et m’affale dans le canapé, à côté d’elle. Je ne la quitte pas une seconde des yeux pendant qu’elle récupère ses affaires, qu’elle se reculotte puis revêt et ajuste son haut avant de se lover dans mes bras. Je dois avoir les yeux un peu hagards, car je crois qu’elle attend encore quelques secondes avant de me parler, alors qu’elle en meurt d’envie. Installée confortablement contre ma poitrine, elle relève le menton et me demande :
    
    — Ça t’a plu de me sauter dessus ? T’es calmé ?
    — J’adore te faire l’amour. Calmé… peut-être pour le moment. C’est ta faute, tu ne m’appelles pas assez.
    
    Elle sourit. La chaleur de son corps me berce, complétant l’ivresse post-coïtale. Nous commençons à discuter, échangeons des banalités à propos de sa vie de femme mariée, la mienne ...
    ... à l’opposé, nous remémorons nos souvenirs communs. De temps en temps, je lui embrasse le front, les joues, les cheveux, passe sous son débardeur pour la caresser. Elle me décoche des regards sévères quand mes mains s’égarent, mais reste néanmoins à portée. J’ai toujours cette impression d’une grande douceur avec Lucie, d’un terrain connu. Elle sait comment je fonctionne, que lorsque l’on se revoit, je ne me calme pas avant de lui avoir fait l’amour une première fois. Nous parlons maintenant depuis une demi-heure et je finis par me rappeler que j’ai apporté une bouteille de vin de Bourgogne, un Montrachet. Lucie se lève pour aller en cuisine et je l’accompagne. Tout en saisissant des verres, elle continue à me parler, de son bavardage adorable. Je scrute l’appartement, qui a au final peu changé. Je me souviens y avoir passé deux très belles années. Une fois les fins verres en cristal à fond plat disposés par Lucie, j’ouvre la bouteille, un vieux millésime majestueux au nez complexe et puissant, versant le liquide jaune-or qui s’écoule, élégant, dessine d’amples larmes en arches régulières. Puis nous repassons au salon avec nos boissons. Je m’allonge dans le canapé, chemise entrouverte. Le haut de mon tatouage apparaît, félin mi-lion mi-tigre, couleur fauve rayée de noir, menaçant, babines retroussées, dents comme des poignards. Lucie, restée sur une chaise à l’opposé, s’interrompt brusquement au milieu d’une phrase, cesse de parler, me fixe. Je connais bien ses yeux ronds, ce ...