Le retour de vacances de Lucie
Datte: 13/10/2024,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
odeurs,
caresses,
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe
... noir en dentelle, trois fines lanières entrecroisées cerclant sa taille. Un provocant fil s’insinue entre ses petites fesses rebondies d’une sensualité étourdissante. La tête tournée, la jeune femme m’observe, bouche ouverte, désireuse, comprend que je vais uniquement sortir de mon pantalon mon lourd sexe en érection, gorgé de sang, puis écarter du chemin la frêle lingerie qui me sépare encore de son entrecuisse charnel avant de la pénétrer immédiatement. Elle frémit d’envie par anticipation. En collant le bout de ma queue à l’arrière de ses fesses, contre les lèvres de sa vulve offerte, je m’aperçois qu’elle mouille déjà abondamment. Je pousse à peine, le prépuce au contact de ses sécrétions. Ses chairs délicates se fendent, accueillantes. Se sentant pénétrée, Lucie, sans pouvoir se retourner, attrape mes cheveux brusquement de sa main droite, en passant par-dessus son épaule. Pendant que je m’enfonce plus avant dans son vagin brûlant, je malaxe ses jolis seins fiers, lui caresse des doigts les aréoles turgescentes, pincent un peu ses tétons. Sa peau hâlée m’avive, des frissons remontent de mes extrémités – sexe et doigts – jusqu’à mon cuir chevelu. Quand ma queue commence à aller et venir en elle, Lucie lâche mes cheveux et des deux mains, s’accrochent au niveau des hanches à ma chemise encore boutonnée, pressant mes muscles et ma peau. Mes charges sont lourdes, impatientes. Les bracelets d’or qu’elle porte s’entrechoquent. Lucie se cambre davantage pour faciliter mon ...
... passage, m’invite à une longue et confortable pénétration.
— Doucement s’il te plaît, ça fait longtemps…
Cette remarque m’intrigue et je ralentis, allégeant mes assauts. Sa voix s’alourdit, mes coups de reins résonnent en elle. Chacun de mes affronts rebondit sur ses superbes fesses que j’aime tant. Le haut de son corps s’affale peu à peu sur le bord de l’assise du luxueux canapé du salon, au tissu en jacquard écru, traversé de trame avec un serti ton sur ton, contre lequel je l’ai coincée. Je sens ses seins délicieux s’affermir dans mes mains pendant que je la laboure. Ses chairs, fesses, cuisses, hanches que j’adore sont ébranlées par mes charges répétées. Je suis à son écoute, étudie la moindre de ses réactions, ma perception exacerbée. Lucie a le souffle court, subit l’effort. Mes mains passent de ses seins à son ventre, de son ventre à ses reins. Je saisis ses fesses, les pétris. Impudique, je lui écarte la raie pour entrevoir son cul. La jeune femme est empêtrée dans son short et son string, ma queue lourde, nerveuse et veinée, entre ses cuisses moelleuses et serrées. J’ai envie qu’elle me sente lui passer dessus. J’ai toujours adoré la baiser, son petit côté passif, timide qui m’entraîne à la bousculer. Ses chairs fendues s’adaptent, elle encaisse davantage, absorbant mieux mes charges redevenues brutales. Je pousse fort, la soulève presque à chaque butée, elle la tête dans les coussins, les mains maintenant agrippées au canapé. Je suis au fond. Trempée, elle crie ...