1. Le retour de vacances de Lucie


    Datte: 13/10/2024, Catégories: fh, vacances, amour, odeurs, caresses, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Pascal L'arc, Source: Revebebe

    Il est quinze heures quand je sonne à l’interphone de Lucie. Elle déverrouille la porte de l’immeuble presque immédiatement. Après avoir traversé l’immense hall marbré, haut de plafond, aux lustres contemporains suspendus, espace où seuls les bruits de mes pas résonnent, je m’engouffre dans le silencieux ascenseur, appuyant sur cette touche du septième étage que je connais bien. Après deux ans passés à vivre ici ensemble, Lucie et moi nous avions mis fin à notre couple d’un commun accord, étant irréconciliables sur la question des enfants. Je n’en ai jamais voulu. Quelques mois plus tard, elle avait rencontré son mari, un ami de son frère. Ils ont depuis eu deux petits, une fille et un garçon.
    
    Arrivé sur le palier, je frappe à l’imposante porte en bois massif à la teinte acajou et la jeune femme m’ouvre. Ravissante, la petite trentaine, de taille moyenne, yeux marron clair, ses beaux cheveux châtains sont coiffés en un chignon, révélant sa nuque adorable. Le top qu’elle porte me laisse admirer son joli ventre plat et bronzé. Un short très court met en avant ses belles jambes dorées. Lors de notre dernier appel, elle m’a expliqué rentrer de sa maison de famille à Biarritz. Son mari y est toujours avec les enfants. Elle veut me faire la bise, mais de suite je la serre dans mes bras. Son odeur est fleurie, un peu sucrée. Parfum de nostalgie. Elle ne porte pas de soutien-gorge, je sens sa poitrine nue sous son haut. Je la libère et elle recule en replaçant une mèche, les ...
    ... joues rouges, l’air gêné. Lucie me prend par la main et m’entraîne dans le salon, mais je la rattrape, me colle derrière elle. Dans son dos, j’enfonce mon visage dans ses cheveux. Mes mains glissent sous son débardeur et saisissent sa douce poitrine. Je l’entends distinctement souffler :
    
    — Oh putain…
    
    Pour ma part, je tremble un peu. D’un coup, trop de sensations. Je chasse ses cheveux, lui embrasse la nuque, lui mordille le cou. Elle fait pivoter son buste puis sa tête et je m’abats sur ses lèvres, affamé. Chaleur de son souffle. Ma langue dans sa bouche offerte est lourde, pressante. Elle veut pivoter davantage, mais je la bloque contre moi, l’empêche de me faire face. Je la pousse, nous trébuchons, je la soulève presque à travers le salon. Sans dire un mot, l’entraînant au sol, sur cette épaisse moquette moelleuse si souvent tachée lors de nos jeux amoureux, je commence par lui ôter son haut.
    
    Nos contacts avec Lucie sont irréguliers depuis son mariage. La jeune femme me téléphone quelques fois par an, appels pendant lesquels elle me donne des nouvelles, me résume sa vie. Je l’écoute toujours avec grand plaisir, heureux de partager ces moments. Parfois, suite à cet appel, elle m’invite chez elle. Et dans ce cas, nous savons tous deux ce qui nous attend.
    
    Nous sommes à genoux, moi derrière elle. Mes mains cherchent les boutons de son court short en jean, puis trouvent et en provoquent l’ouverture. Je l’abaisse jusqu’au bas de ses cuisses. Lucie porte un élégant string ...
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