1. COLLECTION PUTE. Grand-mère Mathilde (1/1)


    Datte: 11/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... subvenant déjà à ses besoins et au mien.
    
    Il a été décidé que je ferais ma valise et que c’était moi qui m’occuperais d’elle.
    
    Tout a bien été pendant un an.
    
    Nous vivions chichement, mais avec le jardin qu’elle faisait avant de se trouver rivé à ce fauteuil où je la plaçais à son levé jusqu’à son couché, je l’avais continuée et nous avions des légumes à manger.
    
    C’était toujours ça d’économisé.
    
    C’est lorsque maman a son tour ayant eu un problème au sein droit, s’avérant être un cancer que la merde est arrivée.
    
    Certes, la merde, je connaissais aux fesses de grand-mère lorsqu’elle se satisfaisait dans sa couche.
    
    Il fallait les acheter, payer l’électricité, l’eau et autres nécessitées pour vivre alors que les chèques de maman se sont arrêtés.
    
    • Madame, je voudrais travailler chez vous.
    
    • C’est moi qui m’occupe du bar, je fais cela seule.
    
    • Non, le bar, c’est bien, mais je veux travailler avec vos clients !
    
    • Tu t’es déjà prostitué !
    
    • Non, mais je pense qu’avec vos conseils, je ferais ça très bien.
    
    • Tu es jolie mais mal attifé, mais ça peut s’arranger.
    
    Revient à la fin du mois, Rosette nous quitte et tu feras un essai, si ça marche...
    
    Ça a marché et depuis je suis l’une des putes les plus demandées de la ville ou je travaille.
    
    Un soir, j’ai voulu coucher mamy Mathilde comme je le faisais tous les soirs.
    
    Colette vient me prendre avec sa voiture pour m’emmener au turbin.
    
    Elle s’était endormie à jamais.
    
    J’ai observé trois ...
    ... jours de deuil avant de retourner au bar.
    
    Certains diront que j’aurais pu arrêter et trouver un travail honorable, mais qu’est-ce qu’un travail honorable ?
    
    Trimer comme maman en usine pour un patron qui vous exploite et une misère du côté de votre portefeuille alors qu’avec mes clients le pouvoir, c’est moi qui l’ai.
    
    Les voir la bite à l’air ce sont eux qui sont à ma botte, car c’est moi qui ai entre mes jambes, ce qui les fera jouir.
    
    Sentir leur dard se tendre, frémir avant d’éjaculer, c’est moi qui ai ce pouvoir, eux ils sont comme des petits enfants encore prêts à appeler leur maman.
    
    Maman, certains l’appellent au moment de se vider dans ma bouche ou ma chatte, mais ce sont ceux même à cinquante ans qui souffrent d’un syndrome d’Oedipe.
    
    Ils sont tellement penauds d’avoir fait voir leur vraie nature qu’il nous est facile de leur faire payer quelques bouteilles pour que leur frustration s’estompe.
    
    Ils savent que nous serons des tombes à leur envie de baiser leur propre mère.
    
    Nous, les putes, ce que l’on aime, c’est la dernière partie de la soirée avant que notre bordel ferme.
    
    Lorsque madame Irma nous donne le fruit de notre labeur, le partage des billets gagnés à nous faire enfiler.
    
    C’est là que doit consister la différence entre fille de bar à pute et escorte.
    
    Nous en avons une qui vient de temps en temps voir madame Irma, il semble qu’elle aime la verge de son neveu, mais aussi les femmes.
    
    Un jour, notre patronne a eu un peu de retard, car ...