COLLECTION PUTE. Grand-mère Mathilde (1/1)
Datte: 11/10/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... était simplement notre voisine à la retraite.
L’été donc, pour les grandes on prenait, le train jusqu’en Belgique ou mamy Mathilde avait une maison avec un petit jardin où je jouais sous un cerisier lorsqu’il faisait beau.
Comme maman, ma grand-mère était une femme honorable qui avait eu son homme mort écrasé par une voiture ayant pris la fuite.
Pas de constat, pas de paiement du préjudice, ce qui par la suite devait précipiter la vie que je vis maintenant à sucer des bites et me faire sauter de six à douze fois les meilleurs jours.
Je vois assez de sexe journellement sauf le dimanche pour être restée célibataire.
Les seules fois, deux pour être exact, ou j’ai été demandé en mariage, s’étaient par des clients que j’avais satisfaits très professionnellement et qui voulaient de moi pour toute leur vie.
Ces deux mecs venaient chacun de me payer une bouteille de champagne et comme j’avais d’autres passes à faire, j’avais simplement trempé mes lèvres dans ce breuvage, eux ayant bu le reste.
Madame Irma l’achetait via un cousin qui le touchait à des prix hors concurrence.
Je me suis toujours demandé comment il aurait été si la concurrence lui avait vendu.
Avec nos fesses, nous faisions du meilleur boulot que ce cousin aux mains baladeuses chaque fois qu’il livrait notre bar à pute.
Madame Irma avait la soixantaine fleurissante et elle emmenait ce cousin pendant presque une heure dans ses appartements.
J’avais appris qu’elle était pute elle aussi ...
... du temps ou il y avait des maquereaux.
Elle avait tapiné à Toulon montant de jeunes marins boutonneux avant que son mac soit obligé de prendre le train rapidement avec sa pute suite à une embrouille et de gros risques qu’il se fasse descendre.
Ils étaient venus dans cette ville de Belgique où il avait acheté ce bar qu’il avait transformé en bar à pute où nous travaillons à trois filles.
J’en ai déjà parlé, Colette la rousse et Sabrina la black.
Colette est mariée, son mec, loin d’être jaloux, tient un garage tout près de chez grand-mère.
Sabrina qui est toujours avec des guêpières de différentes couleurs se caractérise par de très gros seins.
Ses clients adorent lorsqu’elle leur fait des branlettes espagnoles ou encore des cravates de notaire, au choix.
Bref madame Irma payait, son cousin en partit en nature, ça nous faisait marrer et pendant ce temps, c’est elle qui avait ses mains au cul.
Dès que j’ai eu douze ans, j’ai pu récupérer un vélo et j’allais à la piscine dans cette ville voisine avec des copains dont Jean qui lors de ma seizième année m’a pris mon pucelage.
Pris, c’est un grand mot, je lui ai donné pour qu’il arrête de m’emmerder.
En vélo, nous passions avec la bande devant le bar à pute de madame Irma.
Jean nous a dit qu’il avait perdu le sien avec Rosette, une fille travaillant avec madame Irma quelque temps avant moi.
Un jour, ma grand-mère est devenue impotente, il nous était impossible de payer une garde malade, maman ...