1. Single malt, dix-huit ans d'âge


    Datte: 09/10/2024, Catégories: f, fh, hplusag, vacances, piscine, forêt, essayage, cinéma, collection, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme attache, délire, rencontre, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... humée… C’est bien simple, lorsqu’elle disparaissait enfin, je me demande à quel point je n’en éprouvais pas une encore plus grande satisfaction que sa propriétaire ! Ils allaient finalement passer aux choses sérieuses !
    
    Mais il faut croire qu’entre eux, il n’y avait jamais rien de pressant… Bien souvent, j’assistais à une formidable séance de broute-minou qui se traduisait bien vite sur une longue série de gémissements qui duraient de longues minutes avant de déboucher sur une interminable plainte. Si, de temps à autre, elle s’empalait sur lui et que commençait alors une formidable chevauchée qui ne se terminerait que lorsqu’elle serait venue à bout de la résistance de son partenaire, elle le prenait bien plus souvent en bouche, et alors là…
    
    Ma position n’était pas vraiment idéale pour savoir véritablement ce qui se tramait là-dessous, mais cela ne se terminait que lorsque les reins de Michel se révulsaient tandis qu’un grognement assez évocateur remplissait l’espace. Et à chaque fois, elle ne pouvait s’empêcher d’en faire des tonnes en lui montrant, bouche grande ouverte, que la cargaison était toujours là avant de l’engloutir avec un sourire qui en disait long. Puis, elle lui faisait constater que sa bouche était vide avant de se blottir tout ce qu’il y a de plus classiquement dans ses bras, et qu’ils sombrent tous deux dans les bras de Morphée dont ils ne sortiraient qu’aux environs de quinze ou seize heures où, cette fois, nous avions rendez-vous dans la ...
    ... piscine.
    
    Je sais désormais qu’à l’époque, Michel ne s’est jamais douté de quoi que ce soit. N’empêche, leurs cavalcades m’ont donné beaucoup d’idées que j’ai pu appliquer par la suite.
    
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    Une petite robe verte
    
    C’était le même été, juste quelques semaines plus tard. Les papiers du divorce de ma mère avaient pris du retard et c’est pour ça qu’elle m’avait expédié chez Michel pour ne pas m’avoir dans ses pattes. Agnès, en ce qui la concerne, s’en foutait un peu : pour elle, seul n’a jamais compté que son taf d’infirmière, quitte à ce que celui-ci lui vampirise totalement l’ensemble de son existence et de sa vie personnelle.
    
    La veille, j’étais allée au marché où une fille faisait la retape derrière son étal et vantait à qui voulait l’entendre que les culottes qu’elle vendait étaient totalement invisibles sous les vêtements. À vrai dire, je ne me serais sans doute pas attardée dessus si leur prix n’avait pas été dérisoire… Et c’est bien plus par curiosité que par réel besoin que j’en avais acheté quelques-unes que je m’étais empressée d’essayer en rentrant.
    
    Le lendemain matin, cela m’avait donné une idée, d’autant que j’étais retombée par hasard sur une petite robe verte toute simple, mais que l’on m’avait offerte alors que je n’avais que treize ou quatorze ans. Certes, j’étais menue, je le suis toujours aujourd’hui d’ailleurs et j’en suis heureuse, mais j’avais quand même pris un peu d’ampleur depuis le jour où je l’avais enfilée la première fois… Quant à ...
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