1. Un Centre Pour Roux Ch. 05


    Datte: 08/10/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byLePandaSeLaRaconte, Source: Literotica

    ... bouche. Je me doutais de ce qu'elle me proposait : nous étions tellement proche du Cock'n'Cunt! J'espérais qu'elle voulait me faire peur, et ne pas me faire évaluer.
    
    Je pensais à résister, me révolter. Mais non seulement j'étais nue comme une esclave, mais Debbie avait un titre de propriété : elle avait le droit de faire de moi ce qu'elle voulait. Cela me nouait l'estomac. Comment notre jeu avait pris de telles proportions? J'aurais voulu en sortir tout de suite. Mais j'avais appris avec mon métier qu'il fallait accepter la réalité. Quand un criminel que l'on avait arrêté était acquitté, nous, policiers devions apprendre à accepter la situation et à s'adapter. Je devais donc accepter et m'adapter. J'avalais ma salive, en me disant que j'avais encore quelques minutes, quand je butais dans Debbie qui venait de s'arrêter : Nous étions devant l'entrée du marché aux esclaves.
    
    Un grand escalier en marbre sombre montait d'un demi niveau par rapport au trottoir, avec un escalator à droite et un ascenseur à gauche. Au-dessus une indication : « entrée des acheteurs et des visiteurs. » Au-dessus de l'escalier je devinais huit guichets surmontés d'une baie vitrée qui devait apporter de la lumière dans l'entrée du marché. Au-dessus, il y avait deux étages de bureaux. Sur le toit le logo blanc et rouge semblait porté par des ombres d'hommes et de femmes nus : des esclaves.
    
    Quand Debbie se détourna de cet escalier, je soupirais de soulagement : elle n'avait donc fait que me ...
    ... tester. Elle voulait voir si je protesterais. J'étais assez fière d'avoir su garder mon calme.
    
    Au lieu de s'engager dans ce grand escalier, Debbie prit un des petits escaliers en béton brut. Il y en avait un de chaque côté du grand. Au-dessus un panneau indiquait : « dépôt des esclaves : évaluation/vente. » Mon cœur se mit à battre : mes espoirs étaient déçus, Debbie m'emmenait bien au marché, mais en plus ce n'était pas pour une simple visite. J'allais être évaluée!
    
    Descendre un escalier avec des talons comme ceux que je portais était une épreuve. La direction aussi. Je marquais une pause.
    
    -Hé, Mag? » me dit Debbie.
    
    -C'est pas facile, Maitresse » me justifiais-je.
    
    -Tu es sûre que ce sont les talons? » me dit-elle. Je choisis l'honnêteté.
    
    -Il n'y a pas qu'eux, mais ils y participent, Maitresse » dis-je en descendant d'une marche.
    
    -Je croyais que tu ne voulais pas être en retard pour l'avion? »
    
    -Non, Maitresse » dis-je, alors que nous étions sous le grand escalier, qui à ma grande déception n'étais pas marbre, mais en béton. Le dessous était brut. Là, où se rejoignaient les deux escaliers en béton il y avait 4 guichets. Un seul était ouvert. Une employée en tenue noire et rouge remplissait des formulaires alors qu'elle femme mure tenait un jeune homme nu en laisse.
    
    -Je voudrais faire évaluer mon fils, pour son prêt étudiant » disait-elle.
    
    -Bien sûr » répondit l'employée, « une minute. »
    
    -Installez-vous à un guichet, j'appelle quelqu'un » lança-t-elle ...