Un Centre Pour Roux Ch. 05
Datte: 08/10/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byLePandaSeLaRaconte, Source: Literotica
... toi qui décides. » dis-je alors qu'elle me paradait nue dans le centre d'une ville de 6 millions d'habitants. Et en plus, j'étais couverte de sperme.
Nous étions à moins de 10 minutes, mais, 10 minutes évaluées par google maps, pas par une esclave en bottes de ballet.
Je ne sais pas pourquoi, mais en arrivant au parc des jeux olympiques, j'avais un mauvais présentiment. Il faut dire que de l'autre côté du parc il y avait le 'World of Coca-cola'. Et de part et d'autre le centre national des droits de l'hommes, et le marché aux esclaves. Une forme d'humour que je ne goutais pas alors que j'étais une esclave depuis 10 minutes.
Debbie acheta des sandwiches, de la boisson locale, et de l'eau, et elle me détacha les mains pour que je puisse manger, après m'avoir lavé avec l'eau, un soin que j'appréciais. Cette liberté acquise me soulageait. J'allais me mettre assise, quand Debbie me reprit :
-A genoux, Mag, » souffla-t-elle. Je me mis à genoux en jurant bien que c'était la dernière fois que je me laissais mener comme ça.
-Vous êtes bien généreuse, les esclaves ça doit avaler du grit ; » nous dit un passant.
-C'est quoi ce grit? » demandais-je.
-C'est ce que l'on donne aux esclaves, normalement. A la base c'est un plat traditionnel Georgien » dit simplement Debbie. Je préférais mon sandwich.
-On a encore un peu de temps avant de retourner prendre notre avion » déclara Debbie. J'aurais voulu protester. J'étais un peu lassée d'être promenée nue dans la ville, ...
... et mes pieds me faisait souffrir. J'avais eu beau apprendre à marcher dans les bottes de ballet, la position du pied reste tendue, et plutôt douloureuse. La seule chose qui me gênait c'était de devoir aller dans le coffre d'un taxi pour rejoindre l'aéroport, où se trouvaient mes vêtements de femme libre. Juste, alors que cette pensée me vint, elle fut poussée par une autre : depuis une heure environ j'étais l'esclave de Debbie, et plus une femme libre.
-Peut-être que nous devrions être prudentes, et retourner à l'aéroport, Maîtresse » demandais-je
-Oui, tu as raison, juste je voudrais savoir quelque chose avant. Allez, debout » répondit-elle.
Elle referma les menottes, et repris ma laisse. Voulait-elle m'exhiber au musée Coca-cola? Nous en prenions la direction. J'étais consciente aussi que dans la même direction, il y avait un organisme aux couleurs inversées, et dont le signe reprenait les C en police cursive.
-Maitresse Debbie... » dis-je. Mais avant que je ne finisse, elle tira sur la laisse, et me déséquilibra. Sans mains, avec ses talons si haut, je ne pouvais que tomber, mais elle se mit contre moi, et me retenait. Elle m'embrassa en m'aidant à me redresser.
-Mag, tu n'imagines pas le bien que tu me fais en me permettant d'être de l'autre côté. Je te demande une dernière chose. Fais-moi confiance, je te soutiens. » me dit-elle.
-Debbie... »
-Maitresse, et tu sais qu'une esclave pose toujours trop de questions » me dit-elle en posant un doigt sur ma ...