1. Un Centre Pour Roux Ch. 05


    Datte: 08/10/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byLePandaSeLaRaconte, Source: Literotica

    ... dame derrière son bureau.
    
    -Je voudrais une licence de propriété sur cette esclave » dit Debbie.
    
    Je la regardais avec des grands yeux, ne sachant que dire.
    
    -Debbie »
    
    -Oui, allez en salle 5. »
    
    -Une fois au Canada, ça n'aura aucune valeur Mag. » me dit Debbie
    
    -Et si tu fais un scandale ici, ça sera pire. » ajouta-t-elle.
    
    -Pour avoir une licence de propriété, il faut que vous prouviez que vous êtes en charge de cette personne. » déclara le juge en salle 5. Ses favoris sur les joues m'amusaient. Sur son bureau un panneau disait William Phelps
    
    -Je pense que Mag, le reconnaitra. J'ai des photos, et j'ai ici la liste de personnes qui nous ont vues, dont la vendeuse de ses chaussures de ballet, » dit Debbie. Le juge se pencha sur les photos, ces mêmes photos dont je pensais qu'elles étaient des souvenirs. Il y avait même mon reflet dans la vitrine des chaussures de ballet.
    
    -C'est vrai que le fait de savoir marcher en bottes de ballet, les mains le dos, comme elle le fait, et presque une preuve. » dit le juge alors que Debbie lui montrait les photos du smartphone avec les dates.
    
    -Et bien, je dois dire que vous avez le choix mademoiselle, soit vous confirmez, et je donne une licence pour 5 ans à cette jeune fille. Soit, vous ne confirmez pas, mais alors vous promenez comme une esclave, ce qui est punissable de 10 ans d'esclavage. »
    
    -Je suis... Canadienne » dis-je, espérant m'en tirer par un rappel à la loi.
    
    -Ce n'est pas la question, vous appartenez à ...
    ... cette jeune fille pour 5 ans, ou je vous envoie en vente judiciaire pour 10 ans au « Cock'n'Cunt »
    
    -Je confirme », dis-je un peu vaincue. Le juge ouvrit sa barguette, et sorti son sexe
    
    -Allez, salope, viens faire ce que tu dois bien savoir-faire, entre mes cuisses » dit William. Je regardais Debbie, et elle me fit oui de la tête. Dégoutée, j'obéis. Servir Debbie était une chose, le juge en était une autre. Me mettre à genoux était une épreuve. L'odeur du sexe en était une autre.
    
    -Cette licence est valable 14 jours. Pendant ces 14 jours vous devez faire évaluer votre esclave par un marché, et vous aurez votre titre de propriété, définitif » expliqua le juge. J'étais soulagée de savoir que ce papier n'était pas définitif. Une fois au Canada, il n'aurait plus de valeur comme l'avait dit Debbie. En attendant j'étais sous une table à sucer ce juge. Finalement il jouit, et son sperme éclata dans ma bouche!
    
    -Et merde. Faite-lui suivre des cours, c'est une piètre suceuse! » dit-il.
    
    Nous sortîmes du tribunal. Debbie avait sa licence dans une main, et ma laisse dans l'autre.
    
    -Il a peut-être raison, Mag » me dit-elle en riant.
    
    -Je ne trouva pas ça drôle, Debbie » dis-je.
    
    -Appelle moi maîtresse, on peut t'entendre » me corrigea-t-elle, en m'embrassant, malgré mon odeur.
    
    -Reconnais que ce sera un excellent souvenir. On est à moins de 10 minutes de marche du parc des jeux olympiques, on va manger et on repart à l'aéroport » proposa Debbie.
    
    -Je crois que c'est ...
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