demande de prêt
Datte: 06/10/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Renifleur, Source: Hds
... pied menu gainé de nylon couleur pêche. Je lui prends la cheville et colle mon nez sous le talon de la banquière.
- Permettez-moi Monsieur, de vous dire que vous êtes un cochon, mais aussi que j’ai honte de moi, de me laisser faire…
Pendant ce temps, moi, je m’enivre de l’odeur forte que dégagé le peton. Je renifle à m’en faire péter les poumons, la senteur musquée et vinaigrée de la plante de la banquière. Et celle-ci, rouge de honte, se laisse faire, finalement gagnée par ma sensualité. Elle arque sa plante, la tendant gracieusement en une belle cambrure devant me visage en extase. Elle ne bouge pas, soumise, humiliée, attendant, comme vaincue.
Je prends l’initiative même d’embrasser sa plante sans aucune plainte sorte de la bouche de la banquière. Alors je profite de sa relâche, pour caresser avec ma langue chaque parcelle de son pied. Goûtant ainsi à sa saveur salée. Je me permets même de téter ses orteils à travers le nylon. Les baignant dans ma salive.
Pas mécontent de moi, je me lève, la bouche plein d’arôme salé, restituant le pied à sa propriétaire, pour aller reprendre a place.
-Eh bien merci, j’ai été ravi de cette petite récréation.
-Tant mieux pour vous ! Fit-elle en se rechaussant.
- Bon. Ma chère banquière. Je ne tiens pas à vous faire mariner plus longtemps. Je ne suis pas si cruel que vous pouvez le pensé. Je vais vous proposer un marché. Vous êtes libre d’accepter ou de refuser. Mais au point où vous en êtes, dis-je avec un grand ...
... sourire ironique.
- C’est quoi votre marché ? S’exprime-t-elle désormais de façon presque triviale, ayant abandonné les conventions de langage, trahissant chez elle une sorte de désespoir.
- Le marché est simple. Vous faites tout ce que je vous demande, sans rechigner, sans protester, sans discuter chaque ordre. Au moindre refus, au moindre geste d’opposition, à la première parole de rébellion, il n’y aura pas de seconde chance pour vous, je me lève et quitte le bureau. Compris ?
- Et pourquoi pensez-vous que je ferais cela ! dit-elle d’une voix lasse, vaincue.
-Parce que je devine que vous êtes du genre joueuse.
-Et qu’est-ce qui vous fait dire cela ?
-L’instinct. Pour vous prouver ma bonne foi, vous montrer ma bonne volonté, je vais faire un geste.
Je m’approche pour cela de la table où elle a posé les feuillets.
- Voyez, dis-je, j’inscris au bas de la dernière page la mention : Lu et approuvé. Bon pour accord.
Après avoir inscris ses quelques mots, je jette le stylo et reprends place sur la chaise. Attendant la suite. Ses yeux s’arrondirent, incrédules, et je vis une leur, allumée soudain par l’appât du gain. Ca devait tourner comme une lessiveuse dans sa petite tête.
- Qu’est-ce que vous voulez de moi ? Me dit-elle, un peu interloquée.
- Bon, assez perdu de temps en futilités. Passons aux choses sérieuses! Placez votre fauteuil sur le côté pour me faire face. Là je veux que vous écartez au maximum vos jambes, assez pour que j’aperçois un bout de ...