1. demande de prêt


    Datte: 06/10/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Renifleur, Source: Hds

    Bien coiffée, légèrement maquillée, vêtue d’un tailleur strict, bleu pétrole assez moche, un chemisier blanc, des chaussures à talons qui avait vécu, des collants très plus banals.
    
    Elle s’efface pour me laisser passer dans son bureau. Après avoir fermé la porte elle me prit de m’installer sur le siège visiteur, alors qu’elle prend place derrière son bureau. Le téléphone se mit à sonner. Après s’être excusé, elle tend la main et s’empare du combiné. Je profite de l’instant qui met donner pour admirer le peu qu’elle veut bien m’exhibé. Dans un premier temps ses jambes, puis ses pieds, enfin ce que ses escarpins me permet de voir, le dessus. Frustration ! Je m’imagine alors, comme lors de mes rêves lucides, où tout m’est permis, de me laisser tomber à genoux, de lui arracher les escarpins et de lécher vigoureusement ses pieds ! Une agressivité pervers que je sens peu à peu monter en moi ?
    
    Sitôt l’appareil posé, elle déballe toute une documentation ainsi que des formulaires sur le prêt, et d’autres choses dont elle me vente le contenu. Je fais l’intéressé. Elle sourit, l’air satisfait d’elle, se réjouit visiblement d’être sur le point de conclure un nouveau contrat.
    
    - J’avoue que j’ai des petits caprices. J’aime bien me faire prier si vous voyez ce que je veux dire. Lui dis-je.
    
    - Pardon, je ne vois pas là. Lâche-t-elle, me regardant d’un air étonnée.
    
    - Eh bien, reconnaissez que je suis un client intéressant, enfin à première vue, et que grâce à moi vous allez ...
    ... gagner une prime, je me trompe… ?
    
    Elle bredouille alors :
    
    - Oui… enfin… un peu. Mais... et alors… ?
    
    - Elle est de combien la prime ? Je pense qu’elle doit être conséquente pour me forcer la main.
    
    -Je ne vous force pas la main !
    
    -Je suis venu à vous pour un prêt et voilà que vous me proposer des assurances vie. A part cela vous ne me forcer pas la main ? Dis-je, en jubilant intérieurement.
    
    - Non. Bon, et alors ? Demande-t-elle avec un peu d’agacement dans la voix.
    
    - Ce que je veux dire c’est que pour vous c’est facile. Vous avez votre pigeon, donc moi. Vous me faites signer des formulaires, sans prendre la peine de m’expliquer, ou alors vite fait, et en fin de mois ça tombe, c’est-à-dire que je paye. Avouez que ça ne vous demande pas trop d’efforts.
    
    - Oui… Enfin, c’est mon travail… Je ne vois pas trop où vous voulez en venir.
    
    - Surtout que ce client, vous n’avez pas dû aller le chercher bien loin, c’est du tout cuis pour vous.
    
    - Je ne vous oblige à rien, dit-elle, avec un air mi courroucé mi dépité.
    
    - Ne croyez pas que je veuille vous priver maintenant de votre commission. Je dis juste que, si je veux bien signer et vous permettre de toucher votre commission. Vous… il va falloir la mériter !
    
    Un silence s’installe dans la pièce. Elle pose un regard que je dirais bizarre sur moi. Puis laisse tomber d’une voix blanche :
    
    - Que voulez-vous, en échange ?
    
    - L’escarpin que vous portez…
    
    - Pardon !
    
    -C’est ça ou rien.
    
    -Mais pour qui me ...
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