1. demande de prêt


    Datte: 06/10/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... prenez-vous ! Je…
    
    - A ce que je sais, vous êtes une fille mère. Et de surcroit assez intelligente, pour savoir qu’un sou est un sou, je me trompe.
    
    Mon ton est soudain devenu un peu plus sévère.
    
    - Mais… mais vous êtes conscient de ce que vous me demandez, là !
    
    -Parfaitement ! Je dirai même que vous deviez même être ravi que je vous demande ça. Sachez que je ne demande pas ça à n’importe qui. Seulement aux femmes que je désire.
    
    -Vous m’en voyez ravi ! De quoi aurai-je l’air de faire cela ? Je n’ai jamais fait ça pour quel client que ce soit…
    
    - Il y a toujours une première à tout.
    
    -Ça va m’aider ! A-t-elle fait tomber.
    
    -Allez ! Ne perdant pas de temps inutilement. Donnez-moi votre escarpin. Ça restera entre nous je vous en donne ma parole.
    
    - Mais enfin… bredouille-t-elle.
    
    Je sens que la confusion commence à la gagner, à la faire bafouiller. Néanmoins je réalise que face à ma proposition indécente, pas une fois elle m’a prié de quitter son bureau. Ça c’est un signe !
    
    Pour ma plus grande joie, elle se penche au-dessus de ses pieds. Très rouge de honte sans doute mais de colère aussi, elle se déchausse et cela, sans lever les yeux sur moi.
    
    - C’est ridicule tout ça ! Bredouille-t-elle à nouveau, en me tendant le sésame. Je crois même rêver.
    
    Plus rien ne compte à cet instant pour moi, que cette chaussure fraichement retiré d’un beau pied, d’une ravissante femme. Oh putain ! Le sang me claque dans les tempes et ma gorge se resserre. Je ne ...
    ... réfléchis même pas et subis de plein fouet mon désir ardent. Comme télécommander, je tends mon bras et me saisis du précieux sésame. Après avoir scruté l’intérieur je plonge mon nez dedans. La femme semble surprise de mon geste, au point de me dire :
    
    - Mais monsieur, que faites-vous, vous êtes fou, arrêtez, vous me gênée, j’ai déjà assez honte comme cela.
    
    Mais il m’en faut plus pour me dissuader de tout cesser. Surtout que je suis en transe par l’odeur que dégage la chaussure. Sans prendre la peine de l’écouter, je m’imprègne des essences qu’elle dégagea. Soit une forte fragrance de transpiration, très piquante. Mais au lieu de me dégoûter, cela avait plutôt tendance à m’exciter.
    
    - Mmh, ce que vous sentez bon, j’adore votre odeur de pieds. Et je ne serais pas contre de le sentir.
    
    - Comment ! Mais… Enfin… Je pense que vous être là, en pleine démence Monsieur !
    
    - Allez, ne discutez pas ! C’est pour vous le prix à payer, si vous voulez que je consente à vous faire gagner un peu d’argent, en signant votre paperasse.
    
    Commandé par mon excitation je me lève et vais la rejoindre de l’autre côté du bureau. La tête basse, honteuse, elle se décolle du bureau, murmurant :
    
    - Qu’est-ce que vous apprêtez à faire là ? Sachez pour votre gouverne que je ne suis pas une pute…
    
    - Je n’ai jamais ni dit, ni penser à cela de vous. Je veux juste avoir la joie d’embrasser le pied qui vient de me procurer pas mal d’émotion.
    
    - Ne vous gênez surtout pas…
    
    Je m’agenouille devant un ...
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