1. Eloïse, ma belle-mère octogénaire 3 : Fin


    Datte: 05/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... second phallus. Le couple ne se souci pas de moi et il se dégage une sensualité très forte entre ce jeune homme et cette vieille femme. La puissance qui se dégage du corps de l’arabe, la fragilité de celui d’Éloïse, leur attitude, font que je me lève à mon tour, descend mon pantalon et me branle à leurs côtés. C’est simplement une manière de participer à leur jeu.
    
    Éloïse m’aperçoit et tend une main vers ma bite comme pour recevoir le jus qui devrait sortir. Je me laisse aller alors, accélère et me vide dans la paume tendue. Éloïse sourit puis porte sa main à la bouche pour lécher mon sperme. Elle n’a pas encore tout avalé quand Rachid lui présente à nouveau sa grosse langue à sucer. A peine l’a-t-elle en bouche, qu’il accélère alors. Sa grosse bite martèle la connasse baveuse de ma belle-mère. Elle apparaît encore plus énorme quand il lâche son flot dans les entrailles d’Éloïse.
    
    Celle-ci épuisée, se laisse aller en arrière, couchée sur la table, inerte, alors que son jeune amant fini de se vider en elle.
    
    C’est la dernière fois que je verrais ma belle-mère ainsi. Quelque temps plus tard, son état ne va plus lui permettre de se lever. Elle va rester dans un fauteuil. Je sais qu’au début au moins, ...
    ... elle a continué à satisfaire Rachid de la bouche, mais elle me confira tristement un jour : « J’en ai fini avec mes gamineries »Deux ans plus tard, à quelques jours de son quatre-vingt neuvième anniversaire, elle nous quittait, heureuse, ayant bien rempli, certes de façon un peu particulière, les dernières années de sa vie.
    
    Elle a laissé un petit pécule à Rachid, qui ne l’a jamais abandonné. On dit que les rapports sont parfois difficiles entre un homme marié et sa belle-mère, ce ne fut pas mon cas ! Bien sûr, ma femme n’en a jamais rien su.
    
    Je vois parfois Rachid, nous parlons de temps en temps. Il a rencontré une autre femme, moins âgée que Éloïse mais qui a tout de même plus soixante ans. Je lui apprends qu’il est gérontophile, ce qui ne le gêne pas. Il m’apprend que sa nouvelle maîtresse est dans les mêmes dispositions que Éloïse, sans être aussi « gourmande » Il me propose même de « l’essayer » gratuitement. Je lui réponds que l’expérience avec ma belle-mère était unique. Que je ne cherchais pas à tromper ma femme et que c’étaient surtout les circonstances qui avaient conduit à cet épisode.
    
    Tout surpris, il apprend que je n’ai jamais baisé Éloïse et que notre seul « contact » était buccal ! 
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