1. Eloïse, ma belle-mère octogénaire 3 : Fin


    Datte: 05/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... le temps d'aller prendre une douche et je préfère garder ton odeur sur moi pendant qu'ils me baiseront, eux !
    
    C'est ça vieille salope ! Moi aussi je garde ton odeur de chatte en chaleur sur mes lèvres. Vieille pute que tu es ! Ma belle-mère est une putain et j'aime ça !
    
    Salaud ! Tu en profites bien non ? »Nous arrêtons ce dialogue surréaliste pour déjeuner. En dehors de ces moments où on se lâche complètement en disant des obscénités incompatibles entre un gendre et sa belle-mère, nous nous comportons normalement.
    
    Eloïse a préparé un repas rapide, comme elle le fera toute la semaine afin de profiter de la « pause apéritive» comme elle dira ensuite.
    
    Pendant cette semaine, je n’ai jamais baisé ma belle-mère, ni plus tard d’ailleurs. Elle n’a connu, si on peut dire, que ma queue dans sa bouche et ma langue dans sa chatte ! Sans oublier nos doigts dans le cul !
    
    Quand le dernier client s'en va on se retrouve à nouveau nus tous les deux pour une nouvelle séance entre nous. Éloïse aime aussi se retrouver au-dessus de moi. Elle gère ainsi sa fellation et la fait durer. La tête relevée par un coussin, je peux la lécher longuement et elle jouit plusieurs fois sous ma langue. Dans cette position, ma tête est coincée entre ses grosses cuisses et elle m'arrose abondamment de son jus. Et dire que certains croient qu'avec la vieillesse les femmes sont sujettes à la sécheresse vaginale ! Il faut dire que pendant que je lèche sa chatte onctueuse, je pénètre son cul avec le ...
    ... gode. Éloïse adore que je lui prenne le cul. Elle me réclame souvent ma bite mais je résiste toujours. En revanche, je ne la ménage pas avec la queue factice. Je suis couvert de ses sécrétions. Après son ultime orgasme, Eloïse se couche sur moi, terrassée par la violence de sa jouissance.
    
    Après cette séance, il nous faut un moment de récupération, surtout pour Eloïse. Nous sommes couverts de ses sécrétions. Une douche s'impose, au moins pour moi, car je dois regagner mon domicile et je ne voudrais pas que ma femme sente quelque chose. Je fais découvrir à ma belle-mère les joies de la douche commune. La première fois, elle refuse et je dois l’entraîner de force. Pour elle, il s'agit d'un acte intime, d'autant qu'elle doit se laver la chatte et le cul. Me les dévoiler, chose qu'elle n'a jamais faite avant, ni avec son mari, ni avec les hommes fréquentés par la suite. A cette occasion, Éloïse va me révéler qu'après son veuvage, elle a connu pas mal d'hommes jusqu'à soixante dix ans et même plusieurs en même temps. Elle pensait s'être « rangée » après le décès de son dernier amant. La rencontre avec Rachid a bouleversé sa vie.
    
    Pour cette première douche commune donc, j'ai forcé Éloïse à entrer sous l'eau avec moi. Lorsque je nous ai savonnés, elle a tout de suite aimé et s'est laissée aller contre moi. Ce n'est que quand j'ai atteint sa chatte qu'elle s'est récriée, mais quelques baisers et l'autre main sur un sein ont levé sa réticence. Elle a alors aussitôt adoré que je fasse ...
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