1. Eloïse, ma belle-mère octogénaire 3 : Fin


    Datte: 05/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... Rachid à la voir ainsi. Elle savait que ça m’excitait.
    
    Assise sur un pouf, elle attendait que je me déshabille pour enlever son dentier et me sucer. On changeait de position plusieurs fois. La séance se finissait sur le canapé. Ma belle-mère me faisait relever les jambes et m’enfilait un gode. Elle me pompait alors en m’enculant à fond pour que je jouisse au fond de sa gorge.
    
    Elle avait compris assez vite que j’aimais recevoir son doigt entre mes fesses. Que je bandais plus fort, jouissais plus fort et même « mouillais » du cul ! Un jour, l’idée coquine lui est venue en voyant juste avant mon arrivée, le gode offert par Rachid. Elle l’a caché sous un coussin du canapé et l’a sorti au dernier moment.
    
    Je l'ai bien sûr remerciée chaleureusement de sa trouvaille. Elle s’en est sortie par une pirouette « Comme ça, je venge un peu ma fille d’être cocue !»Éloïse est tombée un jour dans son appartement en grimpant sur une chaise. Rachid était absent et ce n’est que le lendemain qu’il l’a découverte par terre.
    
    Fracture du col du fémur plus les souffrances de la nuit passée, le moral d’Éloïse en a pris un coup. Elle a mis du temps à se remettre. Rachid est resté auprès d’elle, mais les « visites » ont cessé. Éloïse avait besoin d’une canne et surtout ne pouvait plus rester à genoux !
    
    L’épisode l’a « assagie » je pensais même qu’il avait mis un terme à ses relations sexuelles, pourtant un jour, je me suis retrouvé avec Éloïse et Rachid chez elle. Nous discutions depuis ...
    ... un moment et je ne sais plus pourquoi nous avons dévié vers la sexualité du troisième âge et son tabou. Voulant faire le malin je dis :« Voyez, vous, Éloïse, qui aurait pensé que vous aviez une sexualité si … intense ?
    
    Je me suis bien calmée quand même !
    
    Calmée ?
    
    Vous croyez peut-être que mon chéri me laisse tranquille et que j’ai renoncé à tout ? » Je dois faire une drôle de tête, car elle rajoute - « Dites-lui, Rachid, que vous « tirez » toujours votre vieille roumia ! A lui, vous pouvez le dire !
    
    Je… Oui... Bien sûr ! Éloïse a toujours bon appétit !»Nous rions tous les trois de sa formule.
    
    - « Salauds que vous êtes tous les deux ! Vous m’avez excitée avec vos histoires ! Mon chéri, montrons-lui un peu à ce pervers de gendre, venez ici me donner votre belle queue à téter ! »Rachid se lève, s’approche d’Éloïse et relève sa djellaba. Sa bite n’est pas encore raide mais entre les doigts et les lèvres expertes de ma belle-mère elle se déploie rapidement.
    
    Éloïse se lève alors, enlève sa robe ainsi que celle de son jeune amant. Son corps a vieilli. Elle a perdu des muscles. Ses jambes et ses bras sont maintenant plus flasques et sa poitrine tombe un peu plus, mais la vision de son corps nu m’excite encore.
    
    Rachid la saisit sous ses fesses et la pose sur le coin de la table. Il n’a qu’à guider sa grosse queue entre les cuisses et, me semble-t-il, moins brutalement qu’auparavant. Il agrippe Éloïse par les épaules et lui tend son énorme langue à sucer comme un ...
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