1. Eloïse, ma belle-mère octogénaire 3 : Fin


    Datte: 05/10/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... sa toilette intime.
    
    Deuxième moment de tension, quand bien sûr j'ai attaqué son anus. Eloïse a tenté de sortir de la douche mais a failli glisser. En se rattrapant elle a touché ma queue bandée. Elle a sourit puis :« J'accepte si je te le fais aussiMais bien sûr cochonne ! Je comptais bien que tu t'en occupes !
    
    Tu es aussi un cochon mon gendre ! Tu vas voir comment je vais m'occuper de ton cul !
    
    En attendant, donne-moi le tien vieille salope !
    
    Oh ! Voyons ! On ne parle pas comme ça à sa belle-mère !
    
    En ce moment, tu n'es pas ma belle-mère. Tu es une vieille putain qui vient de jouir et qui pue le foutre dans tous ses trous !
    
    J'aime quand tu me parles comme ça ! C'est tellement différent de ce que nous sommes d'habitude !
    
    Tu sais quand même que je fourre mes doigts et ma langue dans ton cul et même ton gros gode, alors c'est normal que je l'entretienne. Allez, penche-toi et écarte tes fesses vieille salope !
    
    J'ai honte !
    
    Rappelle-toi que la première fois quand ton amant-maître te l'a demandé, tu n'as pas hésité à montrer ton trou du cul.
    
    Oh, c'est vrai ! » A genoux derrière elle j'enfile deux, puis trois doigts pleins de savon dans sa cavité anale. Éloïse se laisse faire et semble apprécier. Je suis sûr de pouvoir enfoncer un quatrième, voire tous les doigts tellement Eloïse est relâchée, mais je ne veux pas lui donner des idées. J'injecte de l'eau dans son rectum et honteuse elle doit l'évacuer.
    
    Je me soumets alors à elle et elle savonne ...
    ... longuement ma queue, l'avalant après l'avoir rincée. Elle me laisse bandé, me retourne et me graisse le cul et insiste de deux doigts en titillant ma prostate. Je suis à deux doigts, c'est le cas de le dire, de jouir du cul quand heureusement elle arrête. Ce n'est que plus tard que je lui dévoilerai cette méthode qu'elle mettra en pratique me laissant chaque fois complètement « vidé »Le dernier tabou de ma belle-mère est effacé quand je l'oblige à pisser devant moi dans la douche. Pour finir de la convaincre, je pisse moi-même devant elle. J'arrose même ses pieds et ses mollets sans qu'elle ne s'y oppose. Pour qu'elle démarre sa miction, je la prends dans mes bras pour protéger ce qui lui reste de pudeur.
    
    « Vas-y ! Lâche-toi ! Tu vas voir comme c'est bon de pisser devant quelqu'un.
    
    Mais... Je vais t'arroser !
    
    Je t'ai bien pissé sur les jambes ! Sache que si tu veux, une autre fois, je me mettrai à genoux devant toi et tu me pisseras sur la figure !
    
    Tu... Tu fais ça avec ma... fille ?
    
    Oui ! On adore ça ! Tu vois, il n'y a pas que toi de perverse dans la famille !»Le soir, après dix huit heures, ayant fini mon « travail » je rentrais chez moi, retrouver ma femme alors que sa mère m’avait vidé les couilles une ou deux fois dans la journée. J’appréciais particulièrement sa dernière pipe de la journée, quand le dernier client était parti. Éloïse enlevait alors son dentier, rendant plus douce encore la sensation.
    
    La première fois je l’avais « forcée » en découvrant ...
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