Un jacuzzi et un dîner
Datte: 28/09/2024,
Catégories:
ff,
fff,
Collègues / Travail
groscul,
poilu(e)s,
fépilée,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
uro,
journal,
lesbos,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... de renverser une tasse de café sans avoir à prendre dans ma propre garde-robe.
Cette histoire allait me poursuivre un bon moment !
— Tu veux que je mette quoi ?
— C’est moi qui choisis ? On va essayer d’être assorties.
Elle examina différentes possibilités avec les accords haut et bas. Elle fila dans son dressing, elle prit une robe blanche, longue, avec de grandes fleurs vertes et un petit gilet blanc pour la fraîcheur du soir. Elle enfila la robe qui lui allait à ravir. Elle n’était ni indécente ni provocante, mais le large décolleté dans le dos interdisait le port du soutien-gorge et l’échancrure profonde sous les bras laissait plus que deviner la naissance des seins.
— Tu es superbe !
La remarque m’avait semblé si évidente. Elle me choisit un chemisier vert tendre et une jupe verte également, mais d’un vert profond, nous serions en vert. Elle retira sa robe et nous nous sommes retrouvées nues devant le miroir de la salle de bain pour un maquillage léger.
— Tu m’avais dit que tu te maquillais toujours nue. J’ai une très bonne mémoire. La mémoire, c’est une qualité primordiale pour une secrétaire !
Toutes les deux à peu près satisfaites du résultat, nous sommes retournées dans la chambre. Je trouvais que j’avais un peu abusé du rouge à lèvres. Quand elle m’a vu fouiller dans ma valise :
—Tsss tsss ! pas de soutien-gorge. Ce soir, seins libres. Je n’ai pas dit seins nus, j’ai dit seins libres.
— Le chemisier que tu m’as choisi est léger et pas ...
... très épais. J’ai peur que…
Elle m’interrompit au milieu de ma phrase en gloussant
— Pourquoi crois-tu que je l’aie choisi ? Et puis tu m’as à demi avoué que tu aimais être vue.
— Comme tu dis : à demi.
Rien qu’à l’idée, mes tétons s’étaient dressés. Je passai le chemisier et j’allai vérifier dans le miroir, j’en profitai pour atténuer un peu le rouge à lèvres qui paraissait encore plus puissant avec le vert du chemisier. On ne voyait pas vraiment, mais il était évident que je ne portais rien dessous, les mamelons étaient bien dessinés sous le tissu. La jupe était droite et restait au-dessus du genou, mais sans être trop courte. Elle ne dissimulait cependant pas beaucoup la rondeur de mes cuisses et moulait mes fesses.
— On a droit à une culotte ?
— C’est comme tu veux.
Nous en avons mis une toutes les deux. Enfin prêtes, nous sommes parties. Le trajet en voiture prenait moins de dix minutes, mais Anna pensait que la nuit, la voiture était préférable, en plus la route était en pente. On se gara facilement, ce n’était pas encore la pleine saison. Le restaurant était en surplomb de la plage. La bâtisse avait une architecture vintage avec des boiseries rouges sur des murs blancs. Nous fûmes accueillies par un serveur moustachu et sympa qui loucha rapidement sur mon chemisier espérant, sans doute, apercevoir, entre deux boutons, la peau d’un sein. Rapidement le patron vint nous saluer, Anna était visiblement une habituée connue.
Nous n’avons pas commandé d’apéro. ...