1. Un jacuzzi et un dîner


    Datte: 28/09/2024, Catégories: ff, fff, Collègues / Travail groscul, poilu(e)s, fépilée, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, uro, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    J’avais l’impression d’être une spectatrice. Depuis l’arrivée de Marianne, je me sentais transparente. Je restais en quelque sorte planquée dans le jacuzzi. Anna restait debout, nue, sur la terrasse presque au-dessus de moi. Le soleil déclinait et la terrasse orientée plein ouest était inondée de lumière. La peau d’Anna semblait encore plus dorée. J’avais une vue parfaite, en contre-plongée, sur ses jambes et son sexe avec sa fente longue et toute lisse. Je contrôlais mal une bouffée de désir. Noyé dans le bain à remous que j’avais remis en route, je sentais mon clito s’épanouir.
    
    Je m’étais un peu déplacée pour ne pas avoir le soleil en plein visage et je m’étais retrouvée assise sur une des buses qui soufflait les bulles. Le jet arrivait directement sur l’un de mes endroits les plus sensibles, entre l’anus et le sexe. Anna avait dû s’apercevoir du changement de mon attitude et, perverse, elle s’était encore approchée du bassin, campée sur ses jambes qu’elle avait légèrement écartées m’offrant une vue encore plus provocante. J’étais sûre qu’elle savait l’effet qu’elle produisait. J’en avais eu la confirmation lorsqu’elle baissa les yeux pour me regarder et qu’elle m’adressa un clin d’œil, qu’elle ne chercha même pas à dissimuler. L’idée m’était alors venue que, dans cette position, elle aurait pu m’arroser facilement.
    
    Marianne avait retiré le débardeur sous lequel un soutien-gorge léger et transparent ne dissimulait rien d’une jolie ...
    ... petite poitrine. Lorsqu’elle le retira, elle libéra deux seins très écartés avec de larges aréoles foncées et fripées et des gros mamelons. On aurait dit des seins d’adolescente malgré ses deux enfants. Ils s’agitaient au moindre mouvement comme quand ils sont jeunes et durs. Elle avait sur le ventre quelques vergetures qui témoignaient de ses maternités. Sa peau était uniformément cuivrée.
    
    Elle avait du mal à faire glisser son legging bien qu’elle ait des hanches plutôt fines, en tout cas beaucoup plus fines qu’Anna et moi. Le geste emporta d’une seule pièce le legging et le string. Elle exposa, alors, une abondante toison sombre qui dissimulait tout son sexe et débordait sur le pli des cuisses. Anna qui n’avait, sans doute, pas totalement apprécié la réflexion de Marianne sur son cul fit une remarque :
    
    — Je vois que tu gardes encore ta forêt vierge.
    
    En se glissant dans l’eau à côté de moi, elle répondit sans se démonter
    
    — Olive adore fourrager dedans, il n’a pas le fantasme de la petite fille. Et puis comme ça, je fais preuve d’originalité. Et si ma mémoire est bonne, tu ne détestes pas non plus.
    
    Je ne savais pas trop où était ma place. Je compris rapidement que c’était une façon habituelle de communiquer entre elles et qu’elles aimaient déstabiliser les témoins de leurs dialogues. Marianne se tourna vers moi et, avec un grand sourire, me demanda en me tutoyant d’emblée, ce qui me surprit, mais il eut été ridicule de nous vouvoyer en étant côte à côte toutes ...
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