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Maman, Juliette et Moi 02
Datte: 16/09/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
... la punition m'avait excité et je m'étais appliqué à bien appuyer mon sexe dur contre les cuisses de ma mère. Mais, à présent, la douleur avait remplacé le plaisir et ma bite était redevenue celle d'un petit garçon. Maman fit une pause après la vingt-cinquième claque. Elle se remit à me caresser le cul qui me faisait mal comme s'il avait été piqué par une multitude d'abeilles. -- Alors, monsieur le paresseux, commença-t-elle, vous allez adopter de bonnes résolutions? Je jurai que j'allais reprendre sérieusement mon travail scolaire et que dès ce soir je reverrai ma dissertation. J'espérais que la punition s'arrêterait là. Mais il n'en fut rien. Maman resserra sa prise sur mon cul et me frappa de nouveau en me claquant les fesses encore plus fort que pour sa première série. Elle les rougissait sur toute leur surface ainsi que mes cuisses et cet endroit si doux et fragile qui fait la frontière entre les unes et les autres. Je n'étais plus qu'une grande douleur. Certains coups étaient plus appuyés ou plus vicieux que d'autres. Elle ne plaisantait pas et je continuai à compter. À quarante, je ne pus empêcher mes pleurs de couleurs et à cinquante, j'étais dévasté de sanglots. La punition s'arrêta. Maman me demanda de me relever, me donna un chaste baiser sur la joue droite et me conseilla de me remettre au travail. Je dus la ...
... remercier et promettre que tout allait changer. Elle quitta ma chambre en m'annonçant qu'elle allait vérifier les devoirs de Juliette. Je m'installai à mon bureau et ouvris mon agenda pour relire une centième fois le sujet de français « Que signifie le petit pan de mur jaune dans l'œuvre de Marcel Proust? » Je n'avais jamais lu ce type et n'allais pas commencer ce soir. Je n'avais pas pris de notes sur le cours et, si j'avais des idées pour le mur jaune, je pense qu'elle n'aurait pas fait l'affaire pour ma dissertation. Je me mis à rêvasser et me traversa l'envie d'aller coller mon oreille à la porte fermée de Juliette comme je l'avais fait pour la salle de bains. Je me déplaçai très discrètement et le résultat s'avéra plus riche que la première fois. Les sanglots de ma sœur s'entendaient parfaitement, entrecoupés du bruit divin des claques de ma mère. Je ne comprenais pas ce que maman lui reprochait, mais j'imaginais le cul rougi de Juliette, ses cuisses roses, ses deux trous offerts. Je bandais à nouveau comme un cerf de printemps et eus beaucoup de mal à me contraindre à rentrer dans ma chambre quand la fessée s'arrêta. Je fus évidemment incapable de me remettre au travail et dus me masturber deux fois pour trouver le sommeil. Il était trop tard pour le regretter quand je m'aperçus que j'avais à nouveau conchié les draps.