Maman, Juliette et Moi 02
Datte: 16/09/2024,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
... C'était divin. Je n'avais jamais connu un tel plaisir et je hurlai que j'allais venir. Mais ce fut Juliette qui me prit de vitesse en relevant légèrement son bassin avant de jouir à longs cris. J'avais toujours la bouche ouverte et je sentis quelques gouttes de pipi me tomber au fond de la gorge. J'avalai le nectar avec excitation en même temps que je déversai ma semence entre les lèvres de ma mère qui n'en perdit pas un atome.
Juliette se releva. Elle semblait gênée par ce qui venait de se passer.
-- Ce n'est rien, dit maman, ça arrive en jouissant de pisser un peu et les garçons adorent ça. Regarde ton frère, il a tout avalé.
J'avouai qu'en effet j'avais trouvé le goût fort, mais que j'avais été bouleversé comme jamais encore. Je remerciai ma mère de la gâterie qu'elle m'avait offerte.
-- Les bons élèves méritent récompense! La prochaine fois, on verra si tu arrives à faire jouir ta maman. Allez, chacun va prendre sa douche et je vais vérifier les devoirs.
J'avais complètement oublié cette histoire de dissertation et, quand ma mère entra dans ma chambre, j'étais allongé en caleçon sur mon lit en train de lire une BD. Maman n'avait pas quitté sa jupe droite, ses collants noirs et son chemisier translucide sous lequel elle ne portait rien. Elle demanda immédiatement à voir mon agenda et la dissertation qui y était indiquée. J'avais rempli deux maigres pages qu'elle parcourut studieusement comme si elle avait été ma prof et pas la femme qui m'avait sucé quelques ...
... minutes plus tôt.
-- Ça ne va pas du tout, commença-t-elle, avec ce torchon tu ramasseras un cinq sur vingt. En tout cas, moi, c'est ce que je te donnerais.
J'essayai d'argumenter, mais je savais au fond de moi qu'elle avait raison. Je la pris sur le ton de la cajolerie, promis que je ferai mieux puisque tout avait changé à la maison.
Avait-elle déjà son idée derrière la tête? Tous mes discours n'y firent rien. Elle s'assit sur la chaise de mon bureau et m'ordonna de la rejoindre pour recevoir une bonne fessée, punition qui serait réitérée à chaque fois que je travaillerai aussi médiocrement. Je n'en croyais pas mes oreilles, mais à voir la tête de maman, je savais qu'elle ne plaisantait pas.
Je m'approchai sans réelle crainte persuadé que ce type de correction ne peut pas faire de mal à un grand garçon comme moi. Je dus descendre mon caleçon aux chevilles et m'allonger sur les genoux de ma mère qui commença par me caresser les fesses. Je crus que la situation allait dégénérer, mais maman me demanda alors de compter jusqu'à cinquante, car c'était la bonne dose pour corriger les paresseux.
La première claque tomba et me coupa le souffle. Ce fut plus étonnant que douloureux. Je criai « un » par réflexe et le deuxième coup suivit. Je continuai à compter. Maman alternait fesse droite et fesse gauche. À la quatrième ou cinquième claque, je sentis l'échauffement de ma peau se muer en souffrance et je me mis à crier sans même m'en rendre compte. Au début, le bruit de ...