Maman, Juliette et Moi 02
Datte: 16/09/2024,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: bycolibri1172001, Source: Literotica
Chapitre 2
Le lendemain matin, je me réveillai un peu tard épuisé par la double branlette de la veille et ma nuit difficile. Je devais faire vite pour arriver au lycée à l'heure. Je retrouvai maman et Juliette déjà à la table du petit déjeuner. Ma mère portait une nuisette noire qu'en général elle couvrait d'une robe de chambre. Mais ce matin, le tissu fin et translucide ne cachait pas grand-chose de sa grosse poitrine que j'avais tétée la veille. Juliette avait enfilé son habituelle chemise d'homme dont elle avait oublié de fermer tous les boutons. L'échancrure du vêtement laissait parfaitement voir la naissance de ses seins qu'elle avait, certes, moins lourds que ceux de maman, mais qui bougeaient sous la chemise à chacun de ses mouvements. L'aperçu de ces merveilles me redonna immédiatement envie de les toucher et je sentis ma queue grossir dans le simple caleçon que je portais la nuit. Ma mère remarqua vite mon état et j'eus à peine le temps de m'asseoir qu'elle demanda à Juliette si elle avait déjà goûté du foutre.
Ma sœur rougit et répondit non d'un mouvement du visage. Je réagis de même, et maman se lança dans une explication détaillée.
-- Ce n'est pas dégoûtant, tu sais, et c'est même plutôt bon pour la santé. De toute façon, je ne peux pas laisser ton frère partir au lycée dans cet état. Je vais te montrer.
Elle me demanda de venir près d'elle et sans faire de manières, elle baissa mon caleçon et empoigna ma queue qu'elle se mit immédiatement à ...
... branler. Je tentai de caresser ses seins, mais elle m'ordonna de garder mes mains dans le dos.
-- Nous n'avons pas le temps pour ces jeux-là, précisa-t-elle.
Elle me masturba avec énergie, sans douceur. À l'évidence, elle voulait que je jouisse rapidement. Je me sentais un peu transformé en vache traite au petit matin et maman n'arrêtait pas de m'encourager dans ce sens.
-- Allez, fais vite, mon garçon, donne ton bon lait.
Après quelques minutes, je la prévins que je venais. Elle dirigea ma queue au-dessus de son mug de café et me fis éjaculer dans le breuvage noir et chaud qui faisait tout son petit déjeuner. Je jouis profondément, excité de voir mon sperme se mêler à son arabica préféré. Juliette regardait plus intéressée que dégoûtée. Le tout n'avait pas pris cinq minutes, mais j'étais maintenant vidé et déjà fatigué.
Maman mélangea son café à la petite cuillère puis se mit à le boire en poussant de grands cris de satisfaction.
-- C'est délicieux, dit-elle à Juliette, demain matin ce sera ton tour. Tu pourras traire ton frère. À son âge, il peut produire du bon lait chaque jour.
Juliette avoua qu'elle en avait bien envie, que ça l'amusait beaucoup et qu'elle avait hâte de goûter ce café spécial.
Tout cela me plaisait et surtout m'excitait, mais je me sentais réduit à l'état d'objet sexuel, de robinet à foutre. Je n'arrivais pas à savoir si j'en étais heureux ou si je devais me rebeller contre ce traitement que maman me faisait subir.
Pour l'heure, je ...