La voie de Dieu - Histoires de Sexe

La voie de Dieu

... dois-je…
— Autant que nécessaire pour qu’elle demande grâce.

Je m’approche de Marie. Elle ne bouge pas d’un cheveu, même lorsque je lui relève la jupe. Ces fesses parfaites, si lisses, si innocentes. Je devrais les abîmer pour les purifier ?

— Non, je ne le ferai pas. Je vivrai avec mes démons et les combattrai de toutes mes forces.
— Et elle, qui la sauvera ? Tu as vu sa faiblesse face à la tentation de la chair.
— Je la sauverai aussi ! Je m’occuperai d’elle, je la soutiendrai !
— J’ai tenté moi-même de te remettre dans le droit chemin, mais une force inépuisable t’éloigne de Dieu ! Non, je ne peux plus garder ça pour moi.
— Je… Nous nous marierons si Marie le veut bien. Je m’occuperai d’elle jusqu’à la fin de mes jours ! Le voulez-vous Marie ?
— Oui, oui, je le veux aussi. Vous me guiderez et nous retournerons sur la voie de Dieu.

La sœur semble hésiter, puis se reprend.

— Bien, si tel est votre souhait, je veux bien te faire confiance, une dernière fois.
— Merci, ma sœur ! Merci pour tout !
— En revanche, j’ai besoin d’un gage. Prouve-moi que tu sauras lui infliger les punitions qu’elle mérite.
— Que voulez-vous que je fasse ?
— Vous allez vous marier ? Alors, prends-la.
— Mais, c’est impossible !
— Tu es faible, c’est ce que je pensais. Je dirai tout.

Je ne dois pas le regarder. Ce cul bombé, cette petite fente luisante entre ses lèvres rebondies. Est-elle excitée ? Et si je n’étais pas assez fort pour refréner tant de luxure. Non, je dois y ...

... croire, pour elle. Je dois me battre.

— Je vais le faire. Je vais le faire !
— Non, s’il vous plaît ! Je dois rester vierge jusqu’au mariage. L’autre chemin ! Prenez l’autre chemin, mais ne me déflorez pas !

L’autre chemin ? Peut-elle vouloir dire ? C’est encore pire que ce que je pensais : existe-t-il au monde pire pécheresse ? Je ne dois pas reculer.

— Allez, punis-la comme il se doit !

Je m’approche, saisis les lobes à pleine main et ouvre la voie comme Moïse le fit jadis. Le joyau palpite, mais semble fermé à toute intrusion. Je ne vais jamais pouvoir…

— Peut-être… que si vous le léchiez un peu…

Comment peut-elle avoir de telles idées ? Dans ce domaine, je suis malheureusement contraint de suivre son expertise. Ma langue tâtonne, apprivoise, parcourt le chemin tracé, de bas en haut. En bas, un délicieux parfum me pousse à descendre toujours un peu plus, jusqu’à goûter au doux miel. En haut, la porte commence à s’entrouvrir. En insistant un peu, je parviens même à y enfoncer la pointe de ma langue. Subissant ce traitement, Marie commence à se tortiller et pousser quelques discrets gémissements : probablement de souffrance.

— Marie, souffrez-vous beaucoup ?
— Non, continuez, mon ami. Vous devriez bientôt pouvoir…

Je poursuis la préparation alors que la sœur me vient en aide en baissant mon pantalon et en branlant fermement ma queue. Je suis prêt.

— Marie ? Êtes-vous sûre de vous ?
— Oui, j’ai été très vilaine. Punissez-moi bien fort ! Enculez-moi ...