La voie de Dieu
Datte: 15/09/2024,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
religion,
grosseins,
hsoumis,
fdomine,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fsodo,
fouetfesse,
Humour
initiatiq,
Auteur: Ellian, Source: Revebebe
Les vacances sont enfin arrivées. Que cette année fut difficile ! La prépa, c’est pas simple, c’est certain, mais le plus difficile n’était pas là où je l’attendais. Ayant fait toute ma scolarité dans des établissements non mixtes, je comprends maintenant à quel point cela fut une chance et un privilège ! Quelle souffrance que de côtoyer l’autre sexe. Au cours de l’année, les pensées n’ont cessé de s’accroître et d’envahir mes journées et mes nuits. Les voir presque tous les jours, dans leurs manières, leurs attitudes, leur peau, leur parfum… Le pire ce sont ces histoires de soirées, racontées par mes camarades. J’étais bien loin de m’imaginer tout ce que certains faisaient, ce d’autant plus en dehors du mariage !
J’ai heureusement bénéficié d’une éducation chrétienne très affirmée, qui m’a aidé à tenir jusqu’aux examens.
Néanmoins, pour affronter l’année prochaine, il m’est indispensable de me retrouver, de me recentrer et de me replacer dans ma foi. Une inspiration profonde avant de retourner dans cet univers… allez, je l’ose : débauché.
Beaucoup trop, même parmi les catholiques, ont cédé à ces tentations et ont fait preuve de faiblesse.
Moi-même il m’est arrivé, pour soulager mon tourment et chasser les pensées, de toucher mon sexe.
Je m’en veux terriblement. Cette pratique s’est installée : il faut que cela s’arrête, définitivement.
J’ai donc décidé de faire une retraite d’une semaine. J’ai contacté le couvent proche de mon Église, sur les conseils du ...
... Père Gaston. Ils mettent à disposition des cellules, sans contact autre que pour les prières. Exactement ce qu’il me faut !
Dans ma cellule, je ressens le calme, l’apaisement, le bien-être. Préservé de la chaleur de l’été par les épais murs en pierre, je baigne dans une béatitude infinie. Les pensées reviennent parfois. Surtout une. Une image plutôt, pas assez fugace. Celle de Marie. Elle est de mon village, née de bonne famille, très pieuse. Nous avons un cursus identique et nous sommes retrouvés dans la même prépa. Elle m’avait invité à une fête.
Connaissant ses origines, ses croyances et la droiture de sa famille, je ne me suis pas méfié. À cette soirée, les tenues provocantes et inadaptées ont par la suite longtemps envahi mon esprit, mais le pire c’est ce tableau, païen, d’une perversité infinie. Ce tableau qui a violé ma vue lorsque j’ai ouvert la porte de cette chambre pensant y retrouver mon manteau. Marie, allongée sur un lit, les jambes écartées, la tête d’un mâle en rut entre les jambes. Pire : son visage béat, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte et la langue légèrement sortie. Cela n’a duré que quelques secondes, mais encore maintenant, je dois prendre mon sexe en main pour qu’enfin cette vision me quitte. Je dois le faire, c’est la seule façon.
J’ai tout essayé : les prières, les gifles, même sur mon sexe, rien n’y fait. Même ici, dans cette cellule, j’y suis contraint. Quelle humiliation, quel échec ! Ma main le saisit fermement et l’astique fort, ...