La voie de Dieu
Datte: 15/09/2024,
Catégories:
h,
fh,
jeunes,
religion,
grosseins,
hsoumis,
fdomine,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
fsodo,
fouetfesse,
Humour
initiatiq,
Auteur: Ellian, Source: Revebebe
... caressant les cheveux. Je lâche son sein, repu.
— Tu peux te rhabiller.
— Merci, ma sœur.
Elle fait de même.
— La masturbation est un grave péché, tu le sais bien.
— Oui, ma sœur. J’ai tout essayé pour résister à la tentation ! Je… je suis désolé, ma sœur.
Je suis au bord des larmes. Comment le désespoir peut-il succéder si rapidement à l’extase ?
— Allons, allons. Ne t’accable pas. Je vais t’aider. Chaque fois que tu auras ces pensées, ces envies, tu viendras me voir ici. C’est moi qui m’occuperai de te soulager de ce fardeau.
— Mais ma sœur, je ne peux vous laisser endosser mes péchés à ma place.
— Je me dois d’aider mon prochain à rester sur le chemin du Seigneur. Il te met à l’épreuve, je serai là pour te soutenir.
— Merci, ma sœur. Je suis bouleversé par tant de bonté.
— Va en paix.
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J’ouvre la porte de la chambre. Marie est là, mais cette fois elle est entièrement nue. Je ne peux voir son sexe, masqué par la tête de ce garçon qui lui fait des choses qui m’intriguent. En revanche, je découvre ses gros seins blancs qui se balancent au rythme des soubresauts de son corps. Elle m’appelle.
— Viens, j’ai très soif.
Sa bouche, que je vois toujours grande ouverte, m’aspire vers elle. Mon gros gland se rapproche inexorablement de l’abysse. J’entends ses gémissements de plus en plus fort. Que lui fait-il, en bas ? Ma bite est trop grosse, elle ne rentrera jamais, elle va lui défoncer la bouche. Ses lèvres sont ...
... trempées, sa langue dégouline.
— Baise-moi la bouche.
Ça y est, je vais rentrer. Pardon, Marie, pardonne-moi. Je n’ai pas su résister. Sa langue tourbillonne autour de mon gland. Marie couine comme un animal. De souffrance, de plaisir ? Que suis-je en train de lui faire ? Sa tête entre mes mains, je me branle entre ses lèvres. Ses yeux basculent. Ce visage je le reconnais, alors c’était celui de la jouissance ? Elle était en train de jouir lorsque j’ai ouvert la porte ? Mais cette fois, il n’y a pas que lui, moi aussi je lui donne du plaisir, moi aussi je lui donne ce qu’elle veut. Tiens, Marie, tu la voulais, je te la donne. Prends-la bien tout au fond. C’est ça que tu voulais, que j’étanche ta soif de mon bon foutre ? Je ne me retiens plus, je pilonne sans relâche, jusqu’à l’agonie de son plaisir. Ses pointes appétissantes perlent de petites gouttes de lait, son corps se tend, se contracte, et se relâche en mettant fin à un gémissement interminable.
Tout se brouille, devient noir, seule reste la tension dans mon sexe et cette chaleur humide qui l’entoure. J’entrouvre péniblement les yeux. Où suis-je ? Je commence à reconnaître ma cellule. Marie ? Non. C’est…
— Ma sœur ?
Elle ne répond pas et continue son œuvre. Elle fait preuve d’une dextérité surprenante : elle coordonne admirablement les mouvements de sa main et de sa bouche sur ma verge. Tantôt rapide, tantôt plus douce. Si j’osais… Je ferme les yeux et imagine Marie. C’est elle que je baise maintenant. ...