La voie de Dieu - Histoires de Sexe

La voie de Dieu

... contre, je te préviens, ce sera à tes parents. Pas sûr qu’ils aient très envie que des rumeurs sur la dépravation de leur fils fassent le tour du village.
— Je… j’ai parfois des pensées…
— Quelles pensées ?
— Des vilaines, des vilaines pensées.
— Dis-moi lesquelles.
— Je pense… parfois… à des choses, qui ont rapport avec la sexualité.
— Je savais que tu étais un petit pervers, je t’ai entendu hier soir. Je me doutais bien… Qu’as-tu fait ?
— Ma sœur ! Je ne peux pas… Ce serait inconvenant !
— Si tu ne voulais pas le confesser, il ne fallait pas le faire !
— J’ai…. j’ai caressé… enfin, j’ai touché…
— Quoi ?
— Mon… mon sexe.
— Dis-moi comment tu as fait.
— Non, ma sœur, non !

Une salve s’abat sur mon derrière, d’une telle violence que j’en tombe par terre. Je me relève aussitôt, aussi rouge des joues que des fesses.

— Bien, tu peux y aller, j’en informerai le curé et tes parents.
— Non, s’il vous plaît ! Ma sœur ! Un peu de bonté !

Elle se lève en furie. Elle est plus grande que moi, elle me fait un peu peur.

— Ne suis-je pas déjà bien bonne de ne pas dénoncer tout de suite ton comportement de petit vicieux ? De t’infliger la pénitence que tu mérites ? Et de nettoyer ce foutre dégouttant dont tu as souillé les draps ? Alors maintenant tu vas refaire ce que tu as fait hier soir et tu ne sortiras de cette pièce que quand tu te seras répandu.
— Mais je ne commande pas… Je ne décide pas…

Elle s’adoucit soudainement et se rapproche. Elle retire sa ...

... soutane, dévoilant des seins lourds et généreux. Je remarque une petite culotte blanche en dentelles. D’une main elle approche ma tête de son sein, de l’autre elle en dirige la pointe dans ma bouche. Quelle sensation merveilleuse d’excitation et de bien-être que ce téton bien ferme entre mes lèvres !

— Tu peux téter un peu, vilain garçon.

J’aspire, délicatement d’abord puis plus goulûment ensuite. Parfois, trop affamé, je m’y prends mal et laisse échapper de ma bouche son bonbon délicieux. Elle l’y replace à chaque fois, non sans avoir préalablement tapoté mes lèvres avec.

— Voilà, tu bandes bien maintenant. Tu peux me montrer.

Tout en dévorant son sein, je tâtonne pour saisir ma verge. Je n’ose reproduire exactement les mouvements qui me font jouir habituellement. Elle donne une petite tape sur ma main et saisit fermement mon sexe. Elle me branle avec vigueur.

— C’est comme ça que tu fais ? Dis-moi.
— Oui, c’est ça que je fais dans ma chambre.
— Tu vois que tu peux être un bon garçon. Tu vas jouir maintenant, montre-moi comme tu le fais bien.

Ça m’excite qu’elle m’observe. Je n’aurais jamais imaginé que quelqu’un aime me voir faire ces choses-là. Je ne ressens pas de honte cette fois, juste du plaisir et même de la fierté. Elle ne quitte pas des yeux mon sexe, bien gros, plus dur que jamais. Elle me regarde encore lorsque jaillit le jus, en longs jets épais qui décollent avant de s’écraser sur le carrelage.

Elle me garde un peu contre sa poitrine en me ...