1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (2).


    Datte: 14/09/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... responsabilité car c’est lui qui avait voulu que Luigi devienne mon amant.
    
    • Et Luigi dans tout ça ? Ce n’est pas un vulgaire étalon. Nous devons parler avec lui. Tu n’as pas le droit de le maltraiter, de le jeter.
    
    • Nous avons de la chance que ce soit quelqu’un de bien. Un salopard comme l’était N aurait profité de la situation. Si, tout à l’heure, Luigi m’avait poussé, je l’aurais fait monter ou je l’aurais suivi. Oui, nous devons lui parler et, si possible revenir à ton plan de départ. Renoncer à toute dérive des sentiments et ne penser qu’à une chose : baiser !
    
    • Tu as toujours envie de lui, n’est-ce pas ?
    
    • Oui cet homme m’obsède. Je crève d’envie d’être à lui !
    
    • Donne-toi du plaisir devant moi, en pensant à lui.
    
    Je commence à caresser mon clito, tout en doigtant ma chatte. Je suis trempée et béante. Je ferme les yeux, imaginant que c’est Luigi qui s’occupe de moi. Philippe m’embrasse, me caresse, il prend en bouche chacun de mes tétons, qui sont douloureux tant ils sont en érection.
    
    • Raconte-moi chérie ce que Luigi te fait !
    
    • Il est nu, près de moi. Il va me bouffer la chatte, me doigter. Je vais sucer sa belle queue, dont j’ai rêvée toute la journée. Il va me prendre par tous les trous. Il va me faire l’amour toute la nuit, me remplir.
    
    Philippe, sans ménagement, me fiste, s’enfonçant jusqu’au poignet. Je deviens folle de jouissance, je hurle, je délire. C’est à Luigi que je pense, c’est lui que j’appelle quand je jouis, à qui je cris ...
    ... mon amour.
    
    Je finis par me détendre, embrassant et remerciant Philippe pour le plaisir qu’il m’a donné.
    
    • C’était merveilleux chéri. Mais c’est à lui que j’ai pensé. Tu ne peux pas imaginer combien j’ai envie de lui !
    
    • Veux-tu que je l’appelle pour qu’il vienne te faire l’amour ?
    
    • Tu es fou ? Il ne faut pas tant que les choses ne sont pas au clair dans la tête.
    
    Nous avons fini par nous endormir, dans les bras l’un de l’autre. Mon sommeil fut agité. Philippe m’a dit, au petit matin, que, dans mon sommeil, j’ai parlé en Italien. Il a compris que c’était Luigi que j’appelais, que je réclamais. Les prochains jours allaient être difficiles entre mon désir et mes sentiments.
    
    ***
    
    Le lendemain matin, Luigi nous attendit dans le hall de l’hôtel. C’était une journée pluvieuse, il avait donc décidé que ce serait une journée consacrée à la visite des collections romaines de plusieurs musées.
    
    Quand je l’ai vu, la tentation fut la plus forte. Je me précipitais dans ses bras, offrant mes lèvres pour un baiser. Luigi avait la tête des mauvais jours : manifestement il n’avait pas dormi ou très peu. Il me repoussa fermement :
    
    • Olga, ça suffit. Ne joue pas avec moi s’il te plait.
    
    Le reste de la journée, lors de la visite du musée du Capitole, du musée national romain, du musée archéologique, du musée Barraco de sculpture antique, Luigi fut très professionnel, partageant son savoir mais se montrant envers moi froid et distant. Cela me fit réagir : plus il était ...
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