Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (2).
Datte: 14/09/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... l’hypersexuelle et Philippe le mari candauliste : Comment j’ai découvert mon hypersexualité », paru le 29 novembre 2016) ou avec d’autres amants italiens que j’ai eus au cours de mes aventures, à l’image de Mario, ce commerçant dont je parle dans les récits fictifs écrits avec ElodieParis (« Olga, Elodie et Philippe », chapitres 9 à 11 parus respectivement les 9, 11 et 25 février 2021) mais qui a réellement existé.
Tout au long de la première journée de visite, avec un long parcours depuis le Colisée, des forums impériaux jusqu’aux thermes de Caracalla, puis au cours du diner pris à trois dans une trattoria près du Panthéon d’Agrippa, Luigi m’a ébloui par ses connaissances, sa culture, sa classe. Par respect pour Philippe, Luigi ne s’exprimait qu’en Français, qu’il parle sans le moindre accent. Il nous expliqua que sa mère était d’origine française.
Nous partagions une passion commune pour la Rome impériale. Il me dit combien il avait aimé lire mes textes, que Philippe lui avait communiqués. Nous avons beaucoup parlé, au cours du diner, des personnages historiques qui me fascinaient, en particulier féminins, depuis Clodia Mételli jusque Faustine.
• J’aurais aimé vivre la vie de ces femmes, être Clodia, Messaline, Faustine. Des femmes libres, qui ont donné libre cours à leurs envies et à leurs plaisirs.
• J’ai bien compris, en lisant « Matrone et Domina », que tu t’identifies au personnage de Tullia. Mais, sachant tout ce que Philippe m’a expliqué, tu n’as rien ...
... à envier à ces femmes.
Cette allusion au nombre de mes amants et à mes aventures me fit rougir, alors que j’assume d’habitude mon hypersexualité. Je baissai les yeux et la voix, voulant éviter qu’on puisse suivre notre conversation.
• Tu ne dis rien, Luigi, car tu es un véritable gentilhomme. Mais, au fond, ma conduite, notre mode de vie, tout ça doit te choquer !
Luigi, assis à mes côtés, me prit la main, y déposa un baiser et me regarda intensément.
• Absolument pas, Olga, au contraire. Tu es fascinante, digne de ces femmes libres de la Rome antique que nous admirons toi et moi. Tout mon respect aussi à Philippe ! Quelle plus belle preuve d’amour que de tout faire pour le plaisir de celle qu’il aime ? Et enfin, Olga, tu es si belle ! Un véritable rêve !
C’est moi qui pris alors l’initiative d’offrir mes lèvres à Luigi. Notre baiser fut long et passionné, alors que ma main se posait sur son pantalon, caressant sa belle queue à travers le tissu. De son côté, ses mains caressaient mon dos nu, ayant choisi de porter une robe légère à fines bretelles.
Philippe ne disait rien, persuadé que ce qu’il avait programmé allait se dérouler. Il nous interrompit :
• Je savais que ma femme te plairait, Luigi. La journée a été fatigante et le programme prévu pour demain est bien chargé. Retournons vers notre hôtel ! Un grand lit vous attend.
Philippe fit signe pour régler la note. Ignorant que Luigi était Italien et que je parle parfaitement la langue de Dante, le ...