1. A Genoux


    Datte: 13/09/2024, Catégories: Transexuels Auteur: byElisefr, Source: Literotica

    ... particulièrement les revoir.
    
    "Prends un taxi et rentre à ton hôtel. Nous restons en contact."
    
    En voilà un qui passe justement. Elle lève le bras. Le taxi s'arrête. Je monte encore sous le choc de cette succession d'événements. Elle ferme la porte en glissant "à bientôt !". Le taxi démarre et s'éloigne. Une décharge dans mon groin. Je sursaute. J'avais oublié la cage de chasteté et son dispositif électrique.
    
    Je souris dans le taxi qui se faufile dans la ville : je suis vraiment à Elle !
    
    Elise, il est temps que je t'amène à mon salon de beauté habituel !"
    
    Voilà une annonce bien surprenante. Je suis depuis deux heures chez Vous en cette fin d'après-midi d'automne et rien ne présageait Votre décision. A dire vrai, j'ai eu bien des pensées en tête depuis que je suis chez Vous mais pas celle-là. Peut être conviendrait-il de décrire ma situation pour le comprendre : je suis ligotée serrée, assise sur une chaise sans quasiment pouvoir bouger, un gode assez gros, qui vibre de façon aléatoire, enfoncé au plus intime de ma personne, des pinces à sein posées sur les tétons. La chaînette qui relie ces deux derniers passe dans ma bouche que Vous m'avez demandée de garder bien close. Vous êtes allée et venue pendant tout ce temps sans Vous occuper de moi, sauf pour changer les pinces à sein de place de temps en temps ce qui a provoqué de ma part maints gémissements qui ne Vous ont guère attendrie...
    
    "Je te détache, Réajuste toi rapidement. Nous partons dans 10 ...
    ... minutes."
    
    C'est donc sans plus de préavis que nous marchons quelques minutes plus tard dans la rue. Vous devant, moi à Vos côtés légèrement sur l'arrière, position qui convient à la bonne soumise que j'essaie d'être. Rapidement nous entrons dans un salon de beauté, heureusement pour moi, peu fréquenté. Vous échangez quelques mots avec l'employée disponible. Visiblement Vous Vous connaissez. Elle m'entraîne dans une cabine fermée par un rideau. A mon grand soulagement, je ne vais pas être humiliée publiquement.
    
    "Fais ce que Nadine te dira comme si c'était moi qui te le demandais. Je reviens, j'ai quelques courses à faire." Et Vous voilà partie.
    
    Nadine, puisque c'est son nom, me demande de m'asseoir dans le fauteuil de la cabine et commence sans plus attendre un long travail de démaquillage puis de remaquillage. Je n'ai jamais été maquillée par une professionnelle et suis assez curieuse du résultat. Mais la glace, que l'on s'attend à trouver dans un endroit comme celui-là, est tournée face au mur et je ne vois rien. Ma perruque gêne ; Nadine l'enlève et continue à appliquer couche après couche de divers cosmétiques inconnus. Cela dure. Je ne bouge pas et finis plus ou moins par somnoler.
    
    Je me ressaisis quand elle me dit :
    
    "Madame B. a laissé un sac pour toi et demande à ce que tu enfiles ce qu'il y a dedans. Tu mettras tes habits actuels dans le même sac. Je reviens dans dix minutes. Tu devrais avoir fini."
    
    Saisie de curiosité, je vide le sac et me rends compte que les ...
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