1. A Genoux


    Datte: 13/09/2024, Catégories: Transexuels Auteur: byElisefr, Source: Literotica

    ... mes semelles !"
    
    Elle porte des bottes noires. Je lui rends le même service que celui que j'ai adoré Vous rendre il y a peu. Cette fois-ci toutefois, elle joue avec la chaînette et tire parfois dessus. La traction est immédiatement transmise aux pinces et donc à mes tétons déjà douloureux. Je sursaute et elle rit, et ... recommence. Elle est la chatte, je suis la souris. Elle semble adorer ce jeu.
    
    "Tu nous a fait assez rire Elise. Va dans la cuisine."
    
    Je me lève avec la même difficulté. Vous me précédez. Arrivées l'une et l'autre dans la cuisine, vous me mettez un collier en cuir muni d'un anneau, puis ouvrez la porte d'un placard à balais. Au fond du placard, une courte chaîne pend au bout d'un gros anneau fortement attaché au mur. Vous attachez cette chaîne à l'anneau de mon collier. Je suis la face collée au mur sur la pointe des pieds, les mains toujours attachées dans le dos.
    
    "Ouvre la bouche !"
    
    Vous ajustez un bâillon à boule.
    
    "Puisque tu as été sage, je t'enlève tes pinces."
    
    Je sursaute de douleur quand le sang afflue de nouveau au bout de mes seins.
    
    "Ne bouge pas d'ici."
    
    Vous fermez la porte du placard après ce trait d'humour noir et, précisément, je reste dans le noir.
    
    Je suis pourtant heureuse : Vous avez été fière de me montrer à Votre amie.
    
    L'attente dans le noir est un exercice très particulier : la seconde peut devenir une heure ou l'inverse. La notion de temps est abolie. La moindre petite gêne peut s'imposer comme l'unique ...
    ... pensée possible. Ainsi, un bâillon à boule n'est pas fait pour faire mal mais pour imposer le silence. Mais un bord de lanière un peu dur frottant à la commissure des lèvres devient rapidement pour celle qui est contrainte le centre de son monde... Je vis donc l'esprit totalement focalisé sur ce point négligeable pour tout autre que moi pendant un temps que j'ai renoncé à évaluer. Vous ouvrez finalement la porte et me libérez de ce bâillon devenue insupportable et de la chaîne qui retient mon collier au mur. Vous l'a remplacée par une laisse.
    
    "A quatre pattes ! Elise, suis moi"
    
    Je Vous suis avec une vue imprenable sur Vos fines chevilles et Vos mollets galbés : je m'estime récompensée mais ne dis rien.
    
    Vous m'emmenez dans l'entrée de Votre appartement. Votre amie est apparemment partie.
    
    "A genoux, près de la porte. J'attends une livraison de fleurs. Si c'est le livreur habituel, tu le remercieras gentiment."
    
    Je crois comprendre quel type de remerciement Vous attendez de moi mais n'en suis pas trop sure. Vous nouez un foulard autour de mes yeux, puis Vous éloignez et l'attente recommence.
    
    Je suis donc à genoux, les mains toujours attachées dans le dos, une laisse qui pend à mon collier, un foulard qui me maintient dans le noir. Le temps passe doucement. J'entends parfois des bruits sur le palier me demandant si c'est le livreur attendu mais à chaque fois, il ne se passe rien.
    
    La sonnette finit par retentir. Vos pas se rapprochent, Vous ouvrez la porte. Je Vous ...
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