A Genoux
Datte: 13/09/2024,
Catégories:
Transexuels
Auteur: byElisefr, Source: Literotica
... dans mon sac à main.
Et si je Vous appelais?
Pendant que je suis là à m'exciter à tenter d'extraire mon portable du sac à main, une voiture s'arrête devant moi. Je n'ai plus du tout envie de jouer et m'apprête à envoyer balader ce mec tandis que la vitre de mon côté descend.
"Monte Elise !"
Je reconnais alors la voix du Boucher ! Que fait-il là celui-là?
Partant du principe qu'il vaut mieux un diable que l'on connaît à un que l'on ne connaît pas. Je monte dans sa voiture, trop contente d'échapper à la solitude angoissante.
Un SMS bipe sur mon portable. C'est Vous : "Ne m'en veux pas de cette petite farce, Elise ! et fais ce que te dit notre ami boucher."
La voiture roule déjà.
"Mets ce collier !" me dit-il en me tendant un collier muni d'une laisse.
Les mains encore tremblantes, je mets en place l'objet que je reconnais pour l'avoir déjà porté dans l'arrière cours de sa boutique.
Nous tournons et virons dans le Bois jusqu'à arriver à une sorte de parking, un endroit plutôt à l'écart. Pour autant, une voiture est garée sur le côté avec les phares allumés. Le boucher s'arrête à dix mètres devant, de sorte que nous sommes éblouis par les phares.
"Sors ! Mets-toi devant ma voiture, face à moi, les jambes écartées, les mains posés sur le capot."
Je sors donc en pleine lumière et fais ce qu'il m'a dit. Je montre ainsi ma croupe aux occupants de la voiture aux phares allumés, s'il y en a. Le boucher sort aussi et s'approche de moi. Il saisit la ...
... laisse et l'attache au pare-choc avant de sa voiture. Je ne peux plus me redresser. Derrière moi, il commence à me caresser le fessier de ses grosses pattes de travailleur manuel. Je songe à tous ces morceaux de viande suspendus dans sa boutique. Il remonte ma jupe et descend mon string. Ses caresses se font plus insistantes et s'attardent au fond de ma raie. Son doigts s'introduit et me fouille.
Tout à coup, je vois des ombres qui s'approchent sur le côté. Mon cœur s'accélère.
"On peut regarder les gars, mais on ne touche pas !" prévient le Boucher.
J'ai compris. Nous sommes dans le coin des voyeurs ! Et, en effet, assez vite, cinq hommes nous entourent. Deux ont déjà la bite à l'air et se caressent doucement.
Pendant que je réalise ce qui se passe, le Boucher ne perd pas son temps : je sens une chair dure qui s'introduit dans mon anus mais ce n'est plus un doigt ! Il est long et gros, le salaud ! et il ne me ménage pas. Les autres se rapprochent et entourent le capot de la voiture, toujours éclairé comme en plein jour par les phares de l'autre voiture dont j'ignore si elle est occupée ou non : je n'ai, d'ailleurs, même pas pu l'identifier tellement j'étais éblouie. Pour le moment, j'ai d'autres choses à penser et commence par m'échauffer sous l'effet des efforts vigoureux du Boucher. Je gémis. Les voyeurs y vont de leurs commentaires et de leurs insultes tout en encourageant le Boucher : "elle aime ça, la salope. Baise la bien..."
C'est, en effet, ce qu'il fait ...