1. Dans l'enfer de la bibliothèque


    Datte: 13/09/2024, Catégories: 2couples, hplusag, extraoffre, danser, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... est réveillée par Juliette, tremblante, qui lui intime de venir au salon, car son mari les a « convoquées » toutes les deux. Elle s’habille en hâte et nous avons droit au détail de sa toilette. Au salon, le mari exige que les deux femmes se déshabillent et la scène s’étire en longueur, car il faut décrire dans le détail tous les dessous compliqués des bourgeoises des années 1920. Ensuite, le mari oblige les deux oies à faire l’amour. Cette fois, les détails sont plus intéressants, mais c’est gâché par les réflexions stupides de Justine qui ne comprend pas ce qui est en train de se passer. Après cette première séance, il y en a d’autres, dont une mémorable, avec un palefrenier qui sodomise les dames en parlant en patois. À la fin, la pauvre Justine est devenue une prostituée au bénéfice du mari de Juliette et on ne comprend toujours pas pourquoi elle accepte tout, car elle n’arrête pas de répéter qu’elle n’y prend aucun plaisir. Cela dit, on n’est pas obligé de la croire, mais quand elle rencontre un amour de jeunesse qui n’en revient pas de la trouver si répugnante et qui s’enfuit, horrifié, elle se rend compte de sa déchéance et se noie dans l’étang du manoir.
    
    Nulle part dans le livre, on ne parle du plaisir féminin, et pourtant, Odile en le lisant pouvait imaginer si facilement le plaisir qu’elle prendrait à être obligée de s’avilir ainsi qu’elle en avait été effrayée. Et maintenant qu’elle avait prêté le livre au professeur X, elle n’en dormait plus. Elle devait se ...
    ... mordre les lèvres pour ne pas se caresser dix fois par jour et, par contre, lorsqu’elle se retrouva avec son petit ami et qu’il émit l’idée de lui faire l’amour, elle décréta que ce n’était pas le jour et qu’elle avait ses règles. Antoine, le garçon en question, était gentil, mais c’était un amant sans imagination et elle peinait toujours à trouver son plaisir avec lui. Le professeur était un lecteur régulier, qui venait tous les jeudis après-midi chercher des livres et elle attendait avec appréhension et excitation ce jour.
    
    Le jeudi matin, elle prit une douche et se maquilla avec soin. Elle enfila une petite robe noire alors que ses collègues ne l’avaient jamais vu qu’en pantalon et elle alla au travail le cœur battant. Le matin, elle plongea dans la réserve, car elle savait qu’il y avait encore un livre, un seul qu’elle voulait faire lire à Monsieur X. Par malheur, elle ne put mettre la main dessus. Pourtant, elle se rappelait bien sa couverture délavée même si elle avait oublié son titre. Elle se souvenait surtout d’une scène effroyable où une nonne était violée par l’évêque sur l’autel devant des fidèles qui applaudissaient.
    
    Quand le professeur X entra dans la salle, elle fit semblant d’être très occupée. Il s’approcha de la banque et attendit qu’elle s’occupe de lui avec un petit sourire aux lèvres, sans dire un mot pour l’interrompre. Alors, contrainte et forcée, elle releva la tête.
    
    — Vous aviez raison, mademoiselle, dit-il alors. C’est un très mauvais livre et ce ...
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