1. Dans l'enfer de la bibliothèque


    Datte: 13/09/2024, Catégories: 2couples, hplusag, extraoffre, danser, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... vraiment une mauvaise femme.
    — Tant mieux. Dimitri m’a dit : « Tu vas voir, c’est une vraie petite salope ». Bon, écoute, parlons du programme de l’après-midi. En premier, épilation définitive dans le salon que je fréquente habituellement. Cela dure une heure environ et cela ne fait pas mal. Ensuite, nous devons te trouver une culotte et un chemisier transparents, et par-dessus, un tailleurexecutive woman, jupe et veste. Ensuite, on pourra aller au hammam pour se détendre en attendant de retrouver monsieur. Qu’en dis-tu ?
    
    L’après-midi passa vite, entre emplettes et fou rire. Quand Odile se vit dans un miroir avec son minou de petite fille, une toute petite fente entre ses jambes et rien d’autre, elle se sentit vraiment indécente et cela lui plut. La seule inquiétude était ce qu’il faudrait dire à Antoine pour expliquer l’épilation. « J’ai eu envie de le faire, tu aimes ? » lui sembla une bonne formule. Mathilde était ronde et sage, amusante et raisonnable. Elle fut de bon conseil pour le choix des vêtements. Elle entra dans la cabine d’essayage d’Odile quand celle-ci essayait des culottes toutes plus transparentes les unes que les autres et elle passa parfois doucement sa main sur le corps de la jeune femme, mais cela ne dérapa pas. Odile en fut un peu déçue, mais aussi soulagée. Elle aurait déjà fort à faire avec les idées de Dimitri, il ne fallait pas commencer quelque chose avec sa femme dans son dos. Mais elle souhaitait tellement plaire qu’elle aurait voulu que ...
    ... Mathilde aussi devienne folle devant elle.
    
    Au hammam, elles se retrouvèrent assises nues l’une contre l’autre. Mathilde était vraiment grosse, mais bien proportionnée. On avait envie de pétrir ses seins et ses hanches et d’enfouir son visage dans cette chair molle et chaude, mais la femme du professeur parlait à Odile comme si la situation n’était pas scabreuse, de tout et de rien, de son métier – elle était directrice d’un petit cinéma de quartier –, de livres et surtout de son mari qui était le soleil autour duquel son esprit tournait en permanence. Odile vivait une aventure inimaginable et elle répondait à peine, continuant à se concentrer sur ce qu’elle imaginait de la soirée, les choses indécentes qu’elle allait devoir faire, l’envie qu’elle en avait et le plaisir qu’elle allait peut-être en retirer. Elle pensa à la scène dans la réserve et se rappela que c’est en pensant à Antoine qu’elle avait joui si fort. Elle se demanda si elle arriverait à imaginer Antoine présent quand le professeur la baiserait. Car elle était presque sûre qu’il allait le faire.
    
    Finalement, ce fut l’heure. Après un passage rapide chez Odile : maquillage, habillage.
    
    — c’est sympa chez toi.
    
    Et elles se retrouvèrent main dans la main devant la porte de Mathilde qui sonna.
    
    — C’est ce qu’il m’a dit de faire, commenta-t-elle avec un clin d’œil.
    
    Dimitri ouvrit aussitôt comme s’il avait été derrière la porte à attendre. Il les fit entrer avec son demi-sourire habituel, doux et distancié. Il ...
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