1. Dans l'enfer de la bibliothèque


    Datte: 13/09/2024, Catégories: 2couples, hplusag, extraoffre, danser, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, dominatio, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... on s’occupera aussi de cette épilation.
    
    Le vendredi fut une longue journée sans intérêt. Odile essaya simplement de se préparer mentalement à affronter le samedi. Cette dame avait l’air sympathique, simple, chaleureuse, maternelle. Alors ? C’était tout de même étrange de s’occuper du nouveau jouet de son mari. N’était-elle pas jalouse ? Mais alors Odile se rappelait le départ de Dimitri. Il avait obtenu ce qu’il voulait et il était parti retrouver sa femme et tout lui raconter. Elle savait même qu’Odile ne s’épilait pas le minou et qu’il allait falloir y remédier !« Est-ce que j’ai honte ? », se demanda-t-elle, mais elle ne sut pas répondre. Oui, elle avait honte, elle était une petite traînée, mais en fait, elle mourrait d’envie de recommencer et de l’idée d’obéir aux ordres de Dimitri devant sa femme l’excitait complètement.
    
    Le soir, la corvée fut d’avertir Antoine qu’elle ne serait pas disponible un deuxième week-end de suite. Il sembla s’en réjouir, parla au téléphone de concours de jeux vidéo avec ses copains. Est-ce qu’ils étaient en train de se séparer en douceur ? Odile savait qu’elle ne retrouverait pas facilement un garçon aussi gentil et facile à vivre que lui. Devait-elle mettre sa vie en pièce pour quelques séances de sexe sans lendemain ? Elle devait bien constater que oui, elle était prête à tout pour continuer avec Dimitri. Et Mathilde ? Comment était-elle quand elle était nue ? L’idée faisait frissonner Odile. Elle mit de la musique et relut la ...
    ... nouvelle du professeur. Que se passait-il après la séance au palais ? Dimitri allait-il lui faire subir tout ce que subissait la jeune femme dans l’histoire ? C’était effrayant. Il la faisait prendre par deux de ses amis, puis marcher nue dans les rues. La nouvelle s’arrêtait là, mais dans la nouvelle, le maître n’avait pas de femme.
    
    Odile et Mathilde se retrouvèrent en fin de matinée dans un petit restaurant du centre-ville.
    
    — Si tu as des questions, ma petite Odile, n’hésite pas à les poser, mais si tu me demandes ce qui va se passer ce soir, je n’en sais pas plus que toi.
    — Il fait ça souvent ? Je veux dire, séduire des jeunes femmes et les ramener à la maison ?
    — Oh non, jamais. C’est une première. Nous en parlions souvent. Enfin, il en parlait. Tu sais que quand j’ai mis le collier, je n’ai plus droit à la parole. Il ne trouvait jamais la bonne personne. D’après ce qu’il me dit, tu es parfaite.
    — Et vous n’êtes pas jalouse ?
    — Tu sais, Odile, on va être des amies, alors, autant commencer tout de suite à se tutoyer, d’accord ? Non, je ne suis pas jalouse. Tout comme toi, je n’ai pas le collier autour du cou tout le temps et quand je ne suis pas son esclave, nous sommes vraiment un couple tout simple et il est très à l’écoute. J’ai une confiance totale en lui. J’attends ce soir avec impatience.
    — Est-ce que… Est-ce que, dans les séances, il te bat parfois ?
    — Tu as envie d’être battue ?
    — Je ne sais pas. J’en ai peur, mais peut-être que j’en ai aussi envie. Je suis ...
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