1. La plage


    Datte: 04/09/2024, Catégories: f, ff, profélève, groscul, poilu(e)s, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, Oral init, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... l’orgasme d’une autre femme que moi. Elle fut secouée de quelques spasmes et je la sentais s’amollir dans mes bras.
    
    Après un petit moment immobile, sans dire un mot, elle se mit à genoux devant moi, j’étais prête à tout. Elle écarta mes lèvres avec ses deux mains. Mon clitoris était au maximum, je le sentais dur et complètement sorti. Elle le prit entre ses lèvres et commença à le lécher doucement. Après deux ou trois coups de langue, elle s’éloigna un peu me regardant sans doute pour analyser mon plaisir et elle me dit :
    
    — Ta chatte sent la mer.
    
    Ça faisait drôle, ce mot « chatte » dans sa bouche, mais j’en fus encore plus excitée. Elle replongea sa langue sur mon clito et je jouis comme jamais. Des ondes continues de plaisirs, de frissons, à tel point que je m’entendis crier.
    
    Elle se redressa pour m’embrasser, elle avait le visage barbouillé de ma cyprine. Je sentais sur ses lèvres l’odeur et le goût de mon sexe.
    
    Il me fit une tape sur les fesses et me dit joyeusement :
    
    — On se rentre ? Marche un peu devant, je veux pouvoir admirer tes grosses fesses qui bougent.
    
    Et elle rit.
    
    J’étais molle, comme anesthésiée à la fois par un plaisir fou comme jamais et par une situation totalement hors normes que je n’aurais jamais pu imaginer.
    
    En longeant l’eau, toujours aussi froide, Amélie, comme s’il ne s’était rien passé, me parlait de son enfance au bord de la mer, mais une mer beaucoup plus chaude, l’océan Indien. Elle avait passé quelques années à la ...
    ... réunion.
    
    En marchant, je me demandais si Luc était au courant des penchants lesbiens de sa femme. Et c’était plus que des penchants, ce n’était assurément pas la première chatte qu’elle léchait.
    
    Nous avons croisé un couple qui nous a souri. L’homme avait le sexe à moitié dressé, un joli sexe un peu courbé.
    
    Amélie me glissa à l’oreille après les avoir croisés :
    
    — Tu as vu, il bandait pas mal, tu crois que c’est pour nous ?
    — Oui, une belle bite, répondis-je de suite
    
    Amélie me regarda et éclata de rire à cette provocation verbale à laquelle elle ne s’attendait pas de ma part. Et elle renchérit :
    
    — Et tu as vu le cul de sa femme ? Encore plus gros que le tien.
    
    Du coup, je me suis retournée, ce qui la fit encore glousser.
    
    Elle avait en effet des fesses épanouies, très grasses, qui se balançaient au rythme chaloupé de sa marche.
    
    Nous étions presque arrivées, je dois dire que je n’avais pas du tout fait attention où nous avions posé nos affaires. Et Amélie dit :
    
    — Tiens, Thérèse est arrivée.
    — Thérèse ?
    — Oui, Thérèse, la mère de Luc, ma belle-mère. Tu sais, je lui ai téléphoné depuis le parking.
    
    J’avais complètement oublié Thérèse, mais je trouvais que j’avais des circonstances atténuantes. Amélie semblait tout à fait décontractée. Je n’arrivais pas à comprendre comment elle pouvait être aussi « normale » après avoir léché la chatte et fait jouir une de ses élèves.
    
    La marée était montante, mais il restait encore une bonne distance à faire avant ...