1. La plage


    Datte: 04/09/2024, Catégories: f, ff, profélève, groscul, poilu(e)s, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, Oral init, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... réponse.
    
    — En plus, chez moi, les fesses, y a de la surface !
    
    Elle s’approcha un peu et me dit doucement sans doute pour être certaine que le vent ne transporte pas ses paroles.
    
    — Tu as de très jolies grosses fesses.
    
    Ce n’était pas le coup de soleil, mais je dus devenir cramoisie.
    
    Du fond de mon lit, j’avais l’impression d’être encore sur cette plage. Je me revoyais lorsqu’elle a doucement pris ma main pour m’entraîner vers l’eau.
    
    — On y va ?
    
    En marchant, j’avais l’impression que le monde entier regardait mes fesses et ma cellulite. Et puis Amélie me lâcha la main et se mit à courir vers les vagues. Je la suivis, les yeux fixés sur ses fesses à elle. Je n’avais évidemment jamais couru toute nue ni même sans soutien-gorge. Mes seins, pourtant pas très gros, semblaient avoir une vie à part, ils oscillaient de droite à gauche et de bas en haut au rythme de la course. Je me souvenais avoir eu la sensation curieuse de trouver ça agréable, de sentir la vraie présence de ma poitrine, les pointes étaient érigées, presque douloureuses tellement elles étaient tendues.
    
    Amélie se retourna pour voir où j’en étais et je vis ses seins encore beaucoup plus agités que les miens, car, manifestement, beaucoup moins fermes.
    
    Arrivées au bord de l’eau, nous étions essoufflées, mais contentes de notre parcours. L’eau était franchement glaciale. Ni l’une ni l’autre ne nous sentions motivées pour aller au-delà des mollets. Nous avons marché le long de l’eau en faisant des ...
    ... éclaboussures comme des enfants. Il n’y avait vraiment plus personne, les derniers baigneurs, pas plus de trois courageux, étaient loin.
    
    Amélie s’arrêta, me prit la main et se colla contre moi. Elle m’embrassa à la fois doucement, mais aussi un peu sauvagement. Je n’avais jamais embrassé une femme, en tout cas pas comme ça. J’avais échangé quelques baisers avec des garçons sans y trouver un plaisir bien évident. Là, c’était différent, nos lèvres, nos langues se mélangeaient. Elle mit ses mains sur mes fesses en me serrant, nos pubis se touchaient, nos poils s’entremêlaient. Elle pétrissait mes fesses, elle y prenait un plaisir évident et moi aussi. Pour une fois, j’aimais mes grosses fesses puisqu’elle aimait les tripoter. Je hasardais une main sur un de ses seins, c’était très doux, mais aussi très mou, très excitant de le sentir dans ma main avec le téton long et dur. Elle me murmura :
    
    — Caresse-moi !
    
    J’allais faire quelque chose d’inimaginable, caresser le sexe d’une femme et, qui plus est, de ma prof de math.
    
    Mes doigts descendirent doucement sur le ventre et quand je sentis les premiers poils, je plaquais carrément la main sur sa vulve. C’était chaud, très glissant, les lèvres étaient gonflées et presque ouvertes. Je risquais un doigt vers le vagin, tout lubrifié de cyprine. C’était fou, c’était doux. En haut de la fente, je sentais une petite boule dure, son clitoris. J’ai appuyé un peu dessus et ça a déclenché son plaisir. Je n’avais, bien sûr, jamais vu ...