Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 6 : échanges
Datte: 03/09/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... importait, nous n’obligions personne et nous étions là pour ça.
***Nous avions, la veille, donné rendez-vous à Spyridon, pour le remercier de son merveilleux massage qui m’avait donné tant de plaisir (voir « moments candaulistes : 4) le masseur », publié le 14 mars 2022)
Spyridon a confirmé ce que j’avais deviné la veille. Bien membré, endurant, il était un véritable étalon. Il m’a donc baisé comme j’aime. Ce que je retiens surtout de cette après-midi, c’est sa complicité avec Philippe, chez qui il y a plusieurs degrés de candaulisme, en fonction de notre partenaire, de ce que souhaite celui-ci et sur le niveau de plaisir que me donne mon amant. Philippe peut se contenter de regarder, confortablement installé, ne perdant rien de ce spectacle dont il ne se lasse pas. Le seul fait qu’il soit présent, je l’ai déjà dit, a un effet déclencheur sur ma libido. Je sais qu’il adore ça et mon plaisir est aussi une offrande pour lui. Je sais que je satisfais ce fantasme que lui avaient refusé ses précédentes compagnes et qu’il est celui qui a voulu cela. Mieux, c’est comme s’il me baisait par procuration.
Ce jour-là, alors que Spyridon me prenait en levrette, Philippe est passé alors par toutes les étapes du candaulisme. Il y eut d’abord les regards complices entre lui et moi. Alors que les couilles de mon amant tapaient sur mes fesses, mes yeux qui se voilaient, les traits déformés de mon visage, la sueur qui perlait mon front, exprimaient mon plaisir.
Puis il y eut les ...
... paroles. D’abord des paroles à mon intention. Ce sont d’abord des mots d’amour, qui accompagnent mes gémissements :
• Que tu es belle, mon amour. Le plaisir te rend encore plus belle. Il te baise bien ?
• Oh oui, mon chéri. C’est divin. Il me remplit bien ! Mon amour, tu bandes à mort sans même te toucher ! Tu aimes quand on baise ta femme devant toi !
• Je ne m’en lasse pas ! Je voudrais que ça n’arrête pas. Tu es faite pour le plaisir.
L’étape suivant est quand les paroles d’amour sont remplacées par d’autres mots, plus crus, qui m’excitent, quand Philippe me traite de salope, de petite putain, de chienne, de cochonne. Ces mots m’électrisent, alors que mes gémissements ont été remplacés par des cris. Mes propres paroles sont hachées, je voudrais que ça n’arrête jamais tellement c’est bon.
A ce moment-là, Philippe encourage mon amant, lui donne ses instructions, car il sait ce qu’il me faut :
• Elle est bonne ma femme ? Tu aimes la niquer ?
• Elle est exceptionnelle. Je n’ai jamais vu une telle pute.
• Ne te gêne pas ! Pilonne-la ! Démonte-la ! Mets-lui ta queue bien au fond. Vas-y, oui, comme ça, plus fort, plus vite !
Mon orgasme est encore plus fort, mais Spyridon n’a toujours pas joui, alors qu’il me baise depuis une bonne vingtaine de minutes. Il ne m’accorde aucun répit. J’ai besoin alors que Philippe soit plus proche.
Je commence par lui prendre la main, je lui écrase les doigts lors de l’orgasme suivant, puis je le mords dans le cou et lui ...