Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes 6 : échanges
Datte: 03/09/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... laboure le dos avec mes ongles, jusqu’au sang. Dans ces moments de jouissance exceptionnelle, j’aime laisser mes traces sur Philippe, façon de montrer qu’il est à moi et seulement à moi, MON Philippe.
L’ultime phase est la participation de Philippe, qui ne se contente plus d’être spectateur et des marques de mon plaisir. Alors que mon amant me baise et réussit à se contrôler, mon mari, en même temps, me fait l’amour. Il m’embrasse, me caresse, sa langue s’occupe de mes tétons, ses mains empoignent mes seins, qu’i sait si sensible, il me met un doigt dans le cul.
A ce régime, c’en est trop, je ne peux plus tenir et je sais que Spyridon ne va pas tarder à rendre les armes. Il faut en finir, car ils vont me tuer, dans tous les sens du terme.
J’aurais aimé que Spyridon me prenne sans capote et se vide en moi. Il l’aurait mérité par son exceptionnelle performance. Je n’avais pas osé le demander à Philippe, après les turpitudes de la veille.
Dans un moment comme celui-là, j’ai besoin d’être remplie, d’être fécondée. Je suis une femelle, qui appelle la saillie du mâle. A défaut que ce soit Spyridon, comme je l’aurais voulu, je fais alors une chose qui n’est pas fréquente dans nos pratiques. C’est Philippe qui va me finir.
• Spyridon, Vgále to profylaktikó sou kai éla na gamíseis to stóma mou. Thélo na se pio! (« Enlève ton préservatif et viens baiser ma bouche. je veux te boire!)
Alors que Philippe remplace mon amant et me prend à son tour en levrette, Spyridon ...
... m’obéit et s’enfonce au plus profond de ma bouche. Ma langue triture son gland et mes lèvres serrent sa tige. Mon expérience me permet de résister aux nausées et de pouvoir respirer. Ainsi bâillonnée, on n’entendra pas mes hurlements de plaisir, à cause d’un orgasme qui s’annonce comme une marée montante, un vrai tsunami.
Nous sommes au bout de nos forces, nous le savons, mais réussissons une parfaite coordination entre mon orgasme et l’éjaculation des deux hommes, mon mari au fond de mon vagin, mon amant dans ma gorge.
• Katápie ta óla, pórni! (« Avale tout, petite putain !)
Je m’efforce en effet de tout avaler, mais il y en a tant que le sperme coule de mes lèvres.
Il me faudra une bonne dizaine de minutes pour émerger, blottie dans les bras de Philippe. Spyridon veut s’en aller discrètement mais Philippe lui fait signe de rester.
• Tu es un étalon exceptionnel, Spyridon. Nous n’en n’avons pas fini avec elle. Elle va nous tailler une pipe pour que nous rebandions au nouveau.
En épouse obéissante, j’ai sucé alternativement mon amant et mon mari. Mon art fellatoire a vite réveillé leurs ardeurs. J’avais encore envie que Spyridon me baise, mais Philippe avait d’autres idées :
• Encule-la ! J’ai envie que tu lui casses le cul. Tu peux y aller sans capote!
Spyridon ne se l’est pas fait dire deux fois :
• Tha se tsakíso. Pórni! Thilykó skylí (« Je vais t’enculer ! Salope, salle chienne »)
Vu le calibre de Spyridon, je l’ai senti passé, surtout au ...